employés comme bon lui semble, et que, si elle torture les consciences des malheureux à ses gages, elle ne soit justiciable que d’une indignation toute morale.
» Mais une Compagnie de chemins de fer est en relations continuelles avec le grand public, et dans ce public, il peut y avoir des incrédules, des athées ; les athées voyagent, paient leur place comme les croyants : paieront-ils donc pour être nargués, insultés par l’affirmation insolente d’un dogme que rejette leur conscience ?
» Je le répète, si ces faits sont exacts, il y a là une réforme qui s’impose ; elle tentera, j’en suis sûr, votre plume, si généreusement éloquente, et, en défendant cette juste cause, vous vous serez fait une fois de plus le champion des honnêtes gens.
» Avec lesquels je suis et je reste.
- » Franc-Nohain. »