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FÂCHEUSE ERREUR

Appuyée par le mot pressant d’un ami commun, je reçois la supplique suivante trop légitime pour que je ne lui offre point l’intégrale hospitalité de nos colonnes.


« Cher et bon maître,

» Vous excuserez, j’en suis sûr, la liberté que je prends de vous arracher à vos importants travaux quand vous connaîtrez le mobile qui me fait agir.

» Vous êtes le défenseur né des nobles causes et vous détenez la tribune du haut de