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chambre sans s’apercevoir qu’il n’avait pas sa jambe de bois, et ne s’arrêter que lorsqu’il en faisait la réflexion ; alors la jambe de fluide vital n’avait plus la force de supporter le poids de son corps. »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Haussez-vous encore les épaules ?

Oui.

Eh bien ! vous n’êtes pas poli pour l’armée, car ces deux dernières histoires de jambes de bois sont textuellement extraites du livre de M. le lieutenant-colonel Albert de Rochas sur l’Extériorisation de la sensibilité.

Ah ! ah ! vous ne rigolez plus, mes drôles !

Vive l’armée !