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LA QUESTION DES CHAPEAUX FÉMININS AU THÉÂTRE
Je possède une cousine, jeune encore, mais que le ciel a gratifiée du plus exorbitant des sang-froids et d’un peu commun esprit de répartie.
Ajoutons qu’elle est veuve et qu’elle jouit d’une vingtaine de mille livres de rente, ce qui n’a jamais rien gâté, n’est-ce pas ? (Rien des agences.)
La petite histoire qui vient de lui arriver n’est pas de nature, pour vrai dire, à déran-