Page:Allais - Pas de bile.djvu/133

Cette page a été validée par deux contributeurs.

HAN KYBECK
OU
LE COUP DE L’ÉTRIER


CONTE ISLANDAIS


À celle-là seule que j’aime et qui le sait bien[1].


Je suis loin de regretter le voyage que je viens d’accomplir en Islande. J’y fus reçu par de candides gens, cœurs simples, flairant la rogue plus que l’ail, ce qui n’est pas fait pour me déplaire.

  1. Dédicace commode, que je ne saurais trop recommander à mes confrères. Elle ne coûte rien, et peut, du même coup, faire plaisir à cinq ou six personnes.