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compagnies, les bataillons, les régiments ennemis se trouvent enfilés, ficelés, empaquetés, tout prêts à être envoyés vers des lieux de déportation.

» Le voilà bien, le fusil à aiguille, le voilà bien !

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(Suivent quelques détails personnels non destinés à la publicité et des formules de courtoise sympathie qui n’apprendraient rien de nouveau au lecteur.)

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» Élie Coïdal. »


Et dire que les Comités Supérieurs n’auront qu’un cri pour repousser l’idée, pourtant si simple et si définitive, de mon ami le lieutenant Élie Coïdal !

Et savez-vous pourquoi ?