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dans son tort ; mais l’ayant prévenue, je n’y serai pour rien.
» J’avoue qu’il n’eut pas l’air très convaincu. »
» Dabor, je pourais me pleindre que M. Sarcey socupe de ma vie privé et qu’il n’a pas le droi de me mette dan les journo san ma permisillon, mais je ne lui an veu pas de tro pour ça, rapor à tou les artique quil a afer et que ce povre omme ait bien forcé de prande des sujé ouquil les trouve, mais ce que je nademai pa sou socun prétaisque, cet quil dise publiqman que je sui une fame a fer pacé des piaisses fosse au monde.
» An noute, ça ma fé bocou de pène de voire que M. Jean, le fisse à monsieur, tenai des propo comme ça sure moi, car un gamain quon na vu naite pour insidir, ça fait tou-