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» Après quelques mois d’entraînement, le brave hareng se mouvait avec agilité : le naturaliste l’emmenait dans ses promenades et s’en faisait comme d’un caniche (resic !). »
Abrégeons et arrivons au drame :
« Un jour que M. Henrik Dahl et son hareng fidèle se promenaient dans le quartier du port, voilà qu’ils s’engagèrent sur un pont fait de planches disjointes !
» Hélas ! la malheureuse bête glissant par une fissure, tomba dans le bassin. »
… Et le Journal des Débats ajoute froidement :
« Il y a tout lieu de croire que, déshabitué de l’eau, le hareng s’est noyé. »