que, si cruelle aux miséreux, des frimas.
Passe encore pour les premières et les secondes classes ; mais songez un peu aux pauvres gens forcés de passer de longues et inconfortables heures dans ces glacières roulantes qui s’appellent des wagons de troisième classe de trains-omnibus.
… Le hasard fit que je rencontrai, dernièrement, une assez grosse légume appartenant à certaine Compagnie de chemins de fer qu’il ne me sied point de nommer aujourd’hui.
Comme je lui demandais quand il se déciderait enfin à chauffer les troisièmes classes :
— Jamais ! s’écria-t-il fortement.
— Votre cœur est d’acier trempé.
— N’en croyez rien, cher ami, et non seulement nous ne chaufferons pas nos voitures de troisième classe, mais encore nous sommes décidés à enlever, d’ici peu, les bouil-