que nous les aurons touchées, notre première démarche sera pour voler chez vous, en vue d’acquérir une de ces petites merveilles.
— Bien, monsieur.
— En attendant, donnez-moi pour dix centimes de cette poudre grâce à laquelle vous rendez cette eau si miraculeusement sale.
Ahurissement du digne commerçant.
— Mais, monsieur, je ne vends pas de poudre à salir l’eau.
— Alors, monsieur, si mon eau n’est pas sale, à quoi bon la filtrer ?
Nos masques se firent de glace, et sévèrement nous prîmes congé :
— Adieu, monsieur, adieu, madame, adieu, mesdemoiselles, au cas où il s’en trouverait par hasard dans la société.
Et dire, peut-être, que le ci-dessus ingénieur Écossais est plus fumiste à lui seul que nous l’étions tous trois réunis, le pauvre Sapeck, Decori et votre serviteur.