Quelques tablettes de chocolat, des bonbons, rien ; un joujou, quoi !
À l’étranger, il en est bien autrement, et sur ce terrain, les cosmopolites (sous ce nom de cosmopolites, je flétris inexorablement tout ce qui n’est pas français), les cosmopolites, dis-je, les sales cosmopolites nous ont battus d’un nombre incalculable de longueurs.
Il y a quelques années, au moment de ma célèbre croisière dans les mers du Sud, nous fîmes escale à Steelcocktown, un port charmant où j’eus la bonne fortune de tomber sur un des rares consuls français qui ne reculent pas devant un mot d’entretien avec compatriotes.
Le bourgogne, notamment, sortait d’une si excellente cave, que la conversation prit, au dessert, une tournure… mettons galante.
— Je suis sûr, s’écria notre consul, que vous ne connaissez pas le Quick-Flirt-Cottage ?