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Alors, à nous aussi, la face se décolora.
La baraque russe n’était plus là !
Cette baraque russe que nous venions d’admirer, il n’y avait pas cinq minutes, cette baraque russe n’était plus là !
C’était trop fort !
On n’avait pourtant pas eu le temps de la déménager. Et puis, on s’en serait bien aperçu.
Henri, Gidel et moi, nous étreignions nos crânes prêts à éclater.
Ce fut une minute d’angoisse inexprimable.
Soudain, Gidel eut ce bon éclat de rire que connaissent bien les élèves de Condorcet :
— Mon Dieu ! s’écria-t-il, faut-il que nous soyons bêtes.
— ???