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quand une jeune femme dirait : Quelle bonne odeur !
cette odeur-là, ce serait, confondues nos deux âmes sublimées.
Voilà les dernières volontés d’Eloa.
Je lui promettrais tout ce qu’elle voudrait, et même d’autres choses.
Eloa mourrait.
Je ferais à Eloa des obsèques convenables, et,

le lendemain,
je prendrais une autre maîtresse

plus drôle.