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client, il n’avait rien de convenable à se mettre. Alors…
— Je ne vous cacherai pas, mon cher maître, que les règlements intérieurs de la prison ne m’autorisent pas à laisser affubler mes détenus de la sorte, même au moment du carnaval.
— J’ai pensé que, dans les circonstances présentes, je pouvais en quelque sorte…
Blaireau, maintenant, se trouve tout à fait chic, comme disait le baron, et l’idée de son prochain triomphe l’exalte au point de lui faire perdre sa réserve ordinaire.
Il est désormais dans la peau du bonhomme :
— Eh bien, il ne manquerait plus que ça, par exemple ! s’écrie-t-il. Après avoir souffert ce que j’ai souffert, je n’aurais plus le droit de m’habiller comme je veux ! Ça serait trop fort !