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IX


Dans lequel Jules Fléchard trouve un cheveu sur l’azur de son firmament.


Comme c’est drôle la vie, tout de même !

Des années — quelquefois — se suivent, se succèdent bêtement sans apporter quoi que ce soit de nouveau à votre destinée, si ce n’est que de rogner, chaque jour un peu, les plumes de ce stupide et charmant volatile qu’on appelle l’Espérance et puis, d’un coup, voilà qu’en un instant tout est changé !