Les mots progrès, progressiste, dont se servent certaines fractions du parti républicain, ont également le don de l’agacer ferme.
Le progrès d’aujourd’hui, me disait-il éloquemment, est le désordre de demain !
D’ailleurs, cette question du monopole de l’alcool le laisse froid, pour deux raisons.
La première est que M. Paul Leroy-Beaulieu boit fort peu d’eau-de-vie.
Un joli motif, par ma foi !
Alors les Français, que leurs affaires ou leurs goûts n’amènent jamais à Strasbourg et à Metz, devraient se désintéresser des idées de revanche ! Non, mille fois non !
La seconde raison est que M. Paul Leroy-Beaulieu a aussi son petit projet, qu’il a bien voulu me confier.
C’est la réforme fiscale par le monopole administratif du ramassage de chiffons, os, détritus, etc.