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AMOURS, DÉLICES ET ORGUES

Pour boire, lichons
L’âpre eau des lichons[1].

Malheureusement, je ne puis tout citer (le poème ne comporte pas moins de 1,342 vers).

Quelques passages sont d’un symbolisme dont, malgré ma très vive intelligence, m’échappe la signification.

Celui-ci entre autres :

Ce que nous savons
C’est grâce aux savons
Que nous décochons
Au gras des cochons !

Le sens des deux derniers vers est plus tangible :

Oh ! mon chat, virons, Car nous chavirons !

Le fait est qu’il y a un peu de ça !

  1. On appelle lichon, au Canada, le filet d’eau qui coule des glaciers.