bant dans la poche de Marcel, n’avait pas cru devoir manquer une si belle occasion.
C’est ainsi que passa sous le nez de Marcel, une somme vingt fois plus importante que celles qu’il eût jamais, d’un seul coup, détenues dans toute sa vie.
(Il va sans dire que cette histoire est de la plus rigoureuse authenticité.)
P. S. — Je reçois de M. Albert-Émile Sorel, fils de M. Albert Sorel (de l’Académie française et autres branches), une demande de rectification devant laquelle je m’incline bien volontiers.
« Jamais, m’affirme ce bon fils, ni à aucune époque, M. Albert Sorel ne fut le concitoyen ni le contemporain de quiconque ou autre se livrant à des habitudes d’intempérance.
« Tout un passé d’honneur et de travail, ajoute M. Albert-Émile Sorel, s’érige et proteste contre une telle allégation ».
Dont acte.