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concerne le goût, le vivre, la santé, la conscience. — La Bruyère fut d’abord absorbé par les difficultés de sa nouvelle situation. — On montait la maison du duc de Bourbon ; le roi dit, devant le P. de la Chaise, que ce jeune prince n’avait auprès de lui que d’honnêtes gens et des gens connus. — Préparatifs du mariage : bals et mascarades. Dégoûts qu’éprouve la Bruyère. — Douce sérénité des révérends pères ; patience de Sauveur, agitations et amertumes de la Bruyère. — Mort de l’abbé Bourdelot. — M. le Prince vient au secours de la Bruyère et de Sauveur. — Une lettre qu’il écrit les soulage beaucoup. — M. de Meaux vient assister aux leçons de la Bruyère et s’en montre satisfait. — Installé à l’hôtel de Condé, la Bruyère réussit mieux auprès du duc de Bourbon. — La fin du carnaval marque la fin de ses ennuis. — On fait peu de cas à la cour des hommes qui cultivent les sciences et les lettres ; mais, avec les conseils de Bossuet et de Fleury, la Bruyère reconnaît ses fautes et va les réparer
1685.
1685.