enlendimiento ; Platon y Arisloteles liarmonizados por el B. R. Lullio, Barcelone, 1913, etc. ; Mgr Maura y Gelabert, t 1910, Ensayo sobre la filosofia del B. R. Lullio. El arle maçina, dans Rivista Lulliana, 1. 1, p. 26-32, 49-56 ; Estudii s sobre la fdosofia del B. R. Lullio. Pscicologia : naturaleza del aima humana, ibid., t. ii, p. 349-360 ; El enlendimiento agente y et enlendimiento posibile, ibid., t. III, p. 129-138, 161-171 ; El verbo mental, ibid., t. iii, p. 225-237 ; El verbo sensibile y el sexto sentido, t. v, p. 1-8, 33-37, 49-77 ; La Rivista Lulliana, Barcelone, 1901-1905, dirigée par S. Bové, J. Avinyo, Jlaura y Gelabert et Miralles y Sbert, etc. ; J. Carbo, Tomas de Aquino y et descenso del enlendimiento, dans B. A. L., 1915, p. 233-236 ; P. Martinez Vêlez, O. S. Aug., La ciencia universal, Doctrina de S. Tomas y Lull, dans B. A. L., 1908, p.161-164, 177-186 ;. J.Borras, Un seslo sentido, elaffatus, ibid 1914, p. 19-20 ; M. Frau y Bosch, Estudio sobre las relæiones y armonias entre la razon y la fe segun las doctrinas lullianas, ibid., 1907, p. 555-562 ; J. Casadesus, El » arle magna » de R. Lullio, Barcelone, 1917 ; M. Ferra, R. Lull, Valor universal, Mallorca, 1915 ; J. Borràs, Sistenw’sntifico lulhano. IS.xposicion y critica a la vez, Palma, 1916 ; D. Buiz, R. Lull mæstro de de fmiciones, Barcelone, 1906 ; J. Borras, Maria y el Poniifice en las obras del B. R. Lull, Soller, 1908 ; A. Masi iera, Lo libre de Sancta Maria de R. Lull, 1908.
4o Poésie.
A. Helfferich, R. Lull und die Anfànge der calalanisclien Literatur, Berlin, 1858 ; O. Denk, Einfuhrunr in die Geschichte der altcatulanischen Literatur, Munich, 1893, p. 198 sq. ; G. Groeber, Grundriss der romanischen Philologie, II part., t. ii, Strasbourg, 1897, p. 105-107 ; A. Pages, Auzias March et ses prédécesseurs. Essai sur la philosophie amoureuse et philosophique eu Catalogne au XIV’el an XV siècles, Paris, 1912 ; J. Bernard y Durant, Lo B. Lull poeta religios, dans I h ménage al doclor arcangelic, lo B. R. Lull, Barcelone, 1901, p. 84-86.
5o Science.
Weyler y Lavina, R. Lullio, Juzgado por si
mismô, Palma, 1886 ; J. Vancell, Del B. Llull i de la musica, dans Rivisla Lulliana, t. II, p. 86-90 ; J. Borràs, Lo que dice H. Lull de los Mongoles o Tartaros, dans B. A. L., 1908, p. 7-10 ; Explicacion del lerremoto segune ! B. Lull, ibid., 1910, p. 61-64 ; S. Bové, Llull y’I descubriment de les Amériques, dans Rivisla Lulliana, t. ii, p. 105-114 ; D r Serra de Martinez, La medicina lulliana, dans Esludis /ranciscans, Barcelone, 1923, t. xxxi, p. 356-376 ; La Boncière, La découveile de l’Afrique du nord au Moyen Age, t. i, Paris, 1824. 6o Éthique.
J. Hartmann, De individualismo tlhicoehristiano a philosopha natitjiis catalanæ B. R. Lulloconccplo, dans Rivista Lulliana, t. IV, p. 143-148 ; T. Carreras y Artau, Elica hispana. Apuntes sobre la conception elicojuridicu de R. Lull, Barcelone, 191 1 ; /(. Lull, Programma del curso sobre concepeiones tticas en Espuna, 1915.
7o Culte.
A. du Moutier, O. 1o. M., Martyrologium frand » eanum, 2e édit., Paris, 1653, p. 278-280 ; J. Pons y Marques, Documents rctatitis al culte del B. R. Lull, dans B. A. I… 1923, p. 261-21.1, 280-282, 291-294, 310-313. —Sur B. Lulle dans l’art, cf. P. André de Palma, O. M. C, Catalogo de la exposicion de iconografta y bibliografia del B. R. Lull, dans Estudio » Francisâmes, Barcelone, 1918-1920, t. xxi-xxv, surtout, t. xxii, p. 220, 271, : ’, : >7, 146-455 ; l’. Gruasp i Vincens. Xilografl s antiguet del H. R. Lull, Palma, 1915. Le superbe triptyque de P. Barrclô b l’exposition missionnaire du Vatican a été décrit par I.. Iluetter dans le Corriere dltalui, S mai 1925.
E. l.DNGPHÉ.
- LUMBIER Raymond##
LUMBIER Raymond, carme chaussé, théologien
et orateur (1616-1684). — Il naquit à Sangiicsa (Na
varre), le 19 juillet 1616, à l’heure des premières vêpres
du Prophète Élie, de parents nobles : Pierre Lumliicr
et Anne Angèle Araus. Il prit l’habit de carinr chausse
au couvent de sa ville natale, le 25 avril ir>.12 ; peu de
jours après, il partit pour le noviciat « le Saragosse :
nais avant même qu’il y eût achevé l’année de proba
lion, on lui lit suivre les COUTS de philosophie au couvent de Calatayud (Saragosse) ; et, quand on le proposa au vole définitif pour la profession, certains religieux « le la communauté ton ne sait pas précisément sur quoi ils basèrent leur affirmation) prétendirent qu’au lieu d’être utile a l’ordre, il lui serait plutôt a charge ; alors
le maître des novices lit valoir les ertus et les talents du Jeune novice, qui, grâce a cette énergique intervention de son maître, fut admis ; i l ; i profession ; il lit ses
vœux le 18 avril 1633. Lumbier réussit si bien dans ses études, qu’il fut promu aux grades de maître es arts (philosophie) et de docteur en théologie à l’Université de Saragosse ; en 1642, il y obtint une chaire de théologieet, depuis 1652, ilyoccupa la première chaire. En 1654, il fut nommé qualificateur de l’Inquisition d’Aragon ; en 1656, examinateur synodal de l’archevêché de Saragosse ; en 1665, qualificateur du conseil suprême de l’Inquisition d’Espagne et des Indes : et, en 1666, il devint prédicateur de la cour d’Espagne ; en effet, à sa grande science il joignait un talent oratoire remarquable. Il excella tout spécialement dans la prédication des carêmes ; déjà, à Saragosse, il n’en prêcha pas moins de treize, *tant à la cathédrale del Pilar, qu’à celle de la Seo et à l’hôpital général de Notre-Dame-de-Grâce. Tous ces emplois en dehors de l’ordre ne l’empêchèrent pas toutefois d’exercer quelques charges dans celui-ci ; en effet, il fut jusqu’à trois reprises différentes provincial de la province d’Aragon, Valence et Navarre ; en outre, il fut le véritable fondateur du grand couvent des carmes, dit « Collège de SaintJoseph » à Saragosse. Il mourut pieusement à Saragosse, le 1er août 1684.
On a de lui : 1. Quæstiones theologicæ scholaslicw in / am partem S. Thomæ, Saragosse, 1672-1680, 6 tomes in-16. Cet ouvrage contient les traités suivants : de la nature de la théologie ; de la nature et des attributs de Dieu ; de la vision de Dieu ; de la science de Dieu ; de la volonté de Dieu et de la Trinité ; autre édition, ibid., 1680, 6 tomes in-fol., en un vol. — 2. Tractatus de sacrosancio Incarnationis mysterio, ibid., 1672, in-fol. — 3. Tractatus de l’irtule ftdei, Saragosse, 1678, in-fol. — 4. Suma monrf, dite Suma de Arana, en trois volumes, qui ont eu beaucoup d’éditions du vivant même de l’auteur. Le tome i, (dont je n’ai pu retrouver l’exemplaire) aurait pour titre, d’après le catalogue imprimé du Collège de Saint-Joseph des carmes de Saragosse : Suma moral y fragmenlos. Le t. n : Fragmentos varios morales. En prosecucion de los que estan en la suma de Arana, 3e édit., Saragosse, 1683, in-4o, 549-1216 p. En outre, ce volume contient une étude sur les 45 propositions condamnées par Alexandre VII (décr. du 24 sept. 1665 et 18 mars 1666) ; ainsi que certains décrets au sujet des indulgences et de la communion quotidienne (décr. de la S. Congr. du Concile du 12 février 1679) ; Lumbier se montre ici très favorable à la communion quotidienne. En fin, il y a le décret d’Innocent XI accordant l’indulgence du 2 novembre et celui de la S. Congrég. défendant l’usage des chaînettes de l’esclavage de Marie. Le tome m contient l’étude des soixante-cinq proposi tions condamnées par Innocent XI, le 2 niai 1676. 2e édit., Saragosse, 1680, in-L, xxii-1049-1336 p. A la page 1337 et sq., il y a en appendice, une étude au sujet de la Cruzada ; l’ouvrage se termine par 40 pages de tables des matières pour les t.n et m. la 6e édit. revue et augmentée a pour titre : Xoticias (eologicas morales nrerca las proposicionet condenadas par A’.Y..s’.s. P/'. Inocencio XI y Alexandn Vil, Sara « o.sse, 1683, in- 1. xxvi-568 ]>. Ce L m parut I ment en latin, mais il fut mis îi l’Index romain par décret du 23 novembre 1683. (.’est contre ce tome qu’écrivit le dominicain Laurent-Marie l’isani. quand
il inséra des observations eu formé d’appendice à son livre GtdeoniS gladtus, Païenne. 1683, ta-4°. 5. « ’n
doit encore a Lumbier beaucoup de consul ! af ions imprimées. Entre autres on trouve son avis aux p. 12212."> dans la Consulta lirrha ni 2 de norirmbrr 1682 sobre los perjuictOê de lus caiiujaB de Etpatia en razon del gobirrno y dépendent la del Pritir de (irrnoble rn
Francla con lus poncera dadot à ait "biett* por vanne » dodot n religiotoB, 1779, in-l°. - <>. Le catalogue du collège de Saint-Joseph des carmes de Saragosae