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IRENEE (saint ;


Patrick, dans VHermathena, Londres, 1907, t. xxxi, p. 168-182 ; Irenæus of Lugdunum, p. 348-358. — 36. Procope de Gaza. — Une citation. Cf. Harnack, p. 274. — 37. André de Césarée. — Voici un relevé des citations du « grand Irénée, » plus complet que celui de Harnack, p. 275 ; elles se trouvent dans le Commentarius tn Apocalijpsin, proL, c. ii, iii, x, xviii, xxxvii, Liv, Lxiv, P. G., t. Gvi, col. 220, 228, 232, 256, 257, 274, 336. 337, 382, 420. Le passage non identifié, col. 382, et les deux passages similaires, col. 228, 232, peuvent maintenant s’identifier avec Z)r/72., c.ix, p. 666667. — 38. Cosmas Indicopleiistes. — Une citation d' Irénée, « homme illustre et de vie éclatante, qui vécut peu après les apôtres. » Cf. Harnack, p. 274-275. — 39. Saint Éphrem. — Deux citations. Il annonce ainsi la reproduction d’une page d' Irénée, De virtute, c. viii, dans les Opéra omnia, trad. G. Vossius, Anvers, 1619, p. 247 : ad quos pulchre et magnifiée quidam sanctonim enuntiaoil. Cf. Harnack, p. 270, 925. — 40. Léonce de Byzance. — Le mentionne parmi les pères et les « maîtres, » après saint Ignace. Cf. Harnack, p. 276. — 41. Etienne Gobar. — Deux mentions, conservées par Photius. Cf. Harnack, p. 275, 276. — 42. Jean Mulalas. — Attribue, Chronographia, t. XI, P. G., t. xcvii, col. 408, à Irénée et à Jules l’africain, € très savants chronographes, » ce détail légendaire que l’apôtre saint Jean disparut et qu’on ne sait pas encore ce qu’il devint. — 43. Grégoire de Tours. — Deux passages, qui ont été cités ol. 2397 en traitant du martyre d' Irénée. Cf. Harnack, p. 274. — 44. Martyrolngium hieronymianum, édit. J.-B. de Rossi et L. Ducliesne, dans les Aeta sanctorum, Bruxelles, 1894, novembre, t. n a, p. (83). — 45. Saint Grégoire le Grand. — A cherché en vain les œuvres d' Irénée. Cf. Harnack, p. 275. — 46. Le morne Antiochius. — Une citation. Cf.* Harnack, p. 275. — 47. Saint Maxime le Confesseur. — Deux citations, l’une de la lettre à Victor, l’autre d’un écrit Sur la foi perdu, attribué à « Irénée, évêque de Lyon, disciple de saint Jean, apôtre et évangéliste. » Cf. Harnack, p. 275-276. F. R. M. Hitchcock, Irenæus of Lugdunum, p. 13, nomme par erreur Maxime de Turin et se trompe sur la seconde citation. — - 48. Le pseudo-Anatole. — Une mention. Cf. Harnack, p. 596. — 49. Sébéos. — Une mention. Cf. Harnack, t. ua, p. 324. — 50. Saint Anastase le Sinaite. — Citations et emprunts. Cf. Harnack, t. I, p. 276-277. — 51. La Doctrina Patrum de incarnatione Verbi. — Ce florilège, de la fin du vii « ou du commencement du vin » siècle, publié par F. Dickamp, Munster, 1907, contient, p. 265, une citation d' Irénée. — 52. Le pseudoGermain de Constantinople. — Reproduit, en l’abrégeant, mais sans nommer Irénée, Rerum ecclesiasticarum contemplatio, P. G., t. xcvin.col. 413, la page sur l'Évangile tétramorphe, qu’il a connue peut-être à travers Anastase le Sinaite, Interrogiiliones et responsiones, q. cxuv, P. G., t. Lxxxix, col. 797. CL Harnack, p. 284. — 53. Les Actes de saint Irénée. — Trois rédactions, dont la plus ancienne n’est pas antérieure au viie siècle. Aeta sanctorum, 3e édit., Paris, 1868, junii t. vii, p. 699-701. — 54. Saint Jean Damascène. — Une citation. Cf. Harnack, p. 277. — 55. Les Sacra paraltela. — Dans ce florilège, il y a de nombreux textes d' Irénée, pris les uns dans le Contra Iiœreses, les autres dans des écrits perdus, quelques-uns inauthentiques ou d’une authenticité douteuse. Le 1. III ne s’est pas conservé à part. Les manuscrits attribuent le 1. I au « prêtre et moine Jean, » peut-être Jean Damascène (c’est le « prêtre et moine Jean » de Massuet, P. G., t. vii, col. 1111, note), le I. II au prêtre Léonce, sans doute Léonce de Uyzance, ou à Jean. Cf. Harnack, p. 277279, 288 ; K H il. Fragmente vorniciinischer Kirclienvàter aus den Sacra Parallela (Texte und Untersuchungen,

t. xx, fasc. 2), Leipzig, 1899, p. 58-84 (n. 58-82, authentiques, 137-174, douteux ; 175-179, inauthentiques).

— 56. Georges Syncellc, — Une citation et un éloge, Chrnnogr., P. G., t. cviii, col. 1198, 1199. — 57. Le Cfironicon paschale. — Cf. Harnack, p. 279. — 58. Jein de Dara. — Une citation. Cf. Harnack, p. 280.

— 59. Saint Paschase Radbert. — Deux citations, Expositio in Matthœum, t. IV, c. vi ; De partu Virginis, t. I, P. L., t. cxx, col. 307, 1376. La seconde citation : neque ut Spirilus Sanctus sementivum esse credatur carnis (dans l’incarnation du Vtrbe), u/ Irenieus vult, n’est pas exacte. Elle doit se référer à un passage mal compris, Cont. hær., t. III, c. xxi, n. 5, col. 952. — 6n. Agobard. — Une citation du « très antique et apostolique docteur, et martyr du Christ, et évêque de l'Église de Lyon, Irénée. » Nous en avons parlé col. 2403. Cf. Harnack, p. 279-280. — 61. Le martyrologe du ms. latin 3879 de la Bibliotlièque nationale de Paris. — Composé à Lyon, au commencement du ixe siècle. Voir les notices d' Irénée, des saints de Valence Félix, Fortunat et Achillée, et des saints de Besançon Ferréol et Ferrucion, dans H. Quentin, Les martyrologes historiques du moyen âge. Paris, 1908, p. 175, 168, 205 ; cf. p. 213, 219-220. — 62. Le martyrologe du ms. 925 de la bibliotlièque de l’Université de Bologne. — De provenance lyonnaise, est un des accroissements du ms. latin 3879 de la Bibliothèque nationale de Paris qui ont abouti au martj’rologe de Florus. Voir la notice sur Irénée dans J. Condamin et J.-B. Vanel, Le martyrologe de la sainte Église de Lyon, Lyon, 1902, p. 58. CL H. Quentin, op. cit., p. 222-223, 231-233, 243-244. — 63. Florus de Lyon. — Cf., sur son martyrologe, H. Quentin, op. cit., p. 222-408 ; la notice d' Irénée, p. 309. J.-B. Pitra, Spicilegium Solesmense, Paris, 1852, t. I, p. 8-9 ; cL p. ix-x = P. G., t. vii, col. 431-432, a publié le prologue de la traduction du Contra hæreses dans le codex Arundelianus 87 : c’est un résumé de l’ouvrage et un exposé des raisons qui ont décidé à le transcrire. Il pense, à la suite de Sirmond, que l’auteur anonyme du prologue est le diacre Florus. L’attribution reste problématique. — 64. Le pseudo-Bède, dit Bède de Cologne. — P. L., t. xav, col. 960. CL H. Quentin, op. cit., p. 4, 468, n. — 65. Saint Adon de Vienne. — -Brèves notices, Chronic, et MartyroL, P. L., t. cxxra, col. 84, 924-925. La notice du martyrologe reproduit celle du martyrologe de Florus ; de même pour la notice des saints Félix, Fortunat et Achillée, et pour celle des saints Ferréol et Ferrucion, col. 251, 288, qui mentionnent Irénée. Cf. H. Quentin, op. cit., p. 482. — 66. Vsuard. — Abrège, MartyroL, P. L., t. cxxiv, col. 203-204, la notice de Florus. Adon. Cf. Harnack, p. 281. — 67. Méginhard de Fulda. — Un mot contre le millénarisme d' Irénée, dans son De fîde, varielate symboli, ipso symbolo et pestibus ha-resium, publié dans A. Hahn, Bibliotek der Symbole und Glaubensregeln, 3® édit., par L. Hahn, Breslau, 1897, p. 363. — 68. Photius. — Il parle d' Irénée dans ses lettres et dans le De Sancli Spirilus mystagogia, et lui consacre une notice dans la Bibliolhcca, cod. cxx, P. G., t. ciii, col. 401. Cf. Harnack, p. 280. Après avoir analysé le Contra hæreses, il dit que « plusieurs autres écrits variés et lettres de lui circulent, bien que, dans certains d’entre eux, l’exactitude de la vérité des dogmes ecclésiastiques soit altérée par des raisonnements illégitimes, ci xal ïv Tiotv aÙTÔiv T) TÎiç xaxà" ià sxxXrjataaTtxà S6y[Lot.T : ac àXY)6e[a( ; àxpK’eia véÔGiç XoytCTjxoIç xitSsXsûexai. » Conformément à la traduction latine de Photius par le jésuite André Schott : ecclesiaslicorum dogmaium certa veritas spuriis rationibu.'i fucari videtur, Eilies du Pin, Nouvelle bibliothèque des auteurs ecclésiastiques, Paris, 1686, 1. 1, p. 199, avait entendu qu’Irénée affaiblit quelquefois les choses certaines en les fondant