que… ils hésitent à former des sociétés spéciales, à réunir des congrès, à fonder des revues où l’on traite
SCientiflauement toute sorte de sniets avec une cnm d’un texte. Il ne faut pas plusieurs protestants, que
SOCIÉTÉ
D’HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE
DE LA FRANCE
La Revue d’histoire de l’Eglise de France a déjà quatre ans d’existence. L’intérêt croissant qui s’y attache, le désir souvent exprimé par nos abonnés d'établir entre eux des liens plus étroits, enfin le souci d’assurer son lendemain nous l’ont un devoir de donner à cette entreprise une base plus étendue et plus solide par la constitution d’une Société d’histoire ecclesiasti'/ue de la France.
Cette Société se propose de rapprocher les personnes qui s’intéressent à l’histoire religieuse de la France, de leur procurer les moyens de se réunir, d'échanger leurs idées, de se renseigner sur l’objet propre de leurs études, et de promouvoir des travaux sérieux et impartiaux.
Ce projet est plus qu’une promesse. Un Comité composé d’historiens éminents s’est constitué pour aidera la formation de cette Société. Au nom lire des premiers adhérents, appelés à former sont 'onseil d administration, sont : Mgr Baudrillart, recteur de l’Institut catholique de Paris ; — M. Bot dinhon, directeur du « Canoniste contemporain » ; — M. le comte Boulay m I, Meurthe ; — Mgr Bouquet, évêque de Chartres ; — Mgr de Carsalade I)i Pont, évêque de Perpignan ; — M. Châtelain, de l’Académie des Inscriptions ; - M. Ulysse Cm valier, de l’Académie des Inscriptions ; — Mgr h' un -m. de l’Académie française et de l’Académie deInscriptions ; — M. Fagniez, de l’Académie deSciences morale- ; — M. le comte de Franqi bville, de l’Académie deSciences morale- ; — M. Goyau, agrégé de M Iniversité : M. Imbart de I.a Toi r, de l’Académie deSciences morales ; — M. Joly, de l’Académie deSciences morales ; M. Jordan, professeur d’histoire du Moyen âge à la Faculté deLettres de Paris ; — M. Lacour-Gayet, de I académie des Sciences morales ; - M. m I.a Gorce, de
d’ailleurs s’imaginer, avec les scolastiques se soient , .v, n„, , „ ^ PS dogmes par la eût imposé de .auvaise besogne léclaré, tous ou euvent être déie ; et le concile î point de notre tendent pas déar l'Écriture, et
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par l’histoire. »
d’ouverture du
mes, professé à
i Revue pratique
t.v, p. 311, 312.
w certaines idées à l’histoire, ne ion du monde et pies, morales et ?, est-il capable prétera-t-il pas différente, suiqu’il le regarde drait-il pas de incipe le mieux ihilosophe, pour s abstraites et le sens commun, sûre, s’impose a i sagesse qu’ena lui. s’il le fait,
philosophiques
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