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ESCLAVAGE


" : riSf ; « ; ï^pi"> nisfpericulo capiiissuU casiodiam domini, tam ab domesticis qnam ab ex a ZTprœsiarc scrm cogantar, idco S. G. introductasunt de mMica gaœstione a familia necatorumhabenda focrju tinien, IV, x.vii, 5 (Gordien) : La gmdem ]Zncipia quorum vendilio eam Icjem ^’^'^^P^^.^ !

nancisci libnrlatan non possuni. -^’f’^^^" ; ’]/" ;. ^^d 1 Posi lenem Pclroniam (a. a. c. 813) et Senntus (… aa lamtcTpcrtinenlia, dominis Potesins-bl.l-esiad^ bestiasdepignandas suo arbilrio servos tradere oblato lamen puUci seroo, si justa sH donnai querela, sic

^l^uSSt r.sage avait acc, .is. ^^^^ d’esclaves une sorte d’indépendance ; le P^^^^J^ ^e^J était concédé ; c’était une manière d’afflner leui esprit nratiaued’ailleurs, ne servait-il pas le plus souvent à cieter la liberté ? les services rendus par plusieurs unïeste inefïaçable de rectitude ^^^-^^^^"^ dans certaines régions, ou d^"^^ certames Lun.l eMa condition des esclaves. « En fait le sort ^e 1 escLwe romain n’était point par trop dur. » G. -^i-yf’^ ZnTde droit.omam/p. 51. Mais les jugements den"emble des historiens les mieux i’^îo^-és restent bien tristes « Malgré tout, lombre au tableau est dcci démont H Plus forte. » Marquardt, La vie privée, t. i, S’^oTs cïllà peut sonder l’océan d’amertumes e dé misères que nous découvre ce prolétariat le plus mal èureux de tous, qui ose plonger ses regards vers Tes profondeurs ; il semble bien que comparées a tout es le^sirances de l’esclavage romain, les soufirances, des n g toutes réunies ne forn^eraient qu une eoutte. Mommsen, Rômisehe Geselnehte, t. ii, p. 77.

^ t L’ESCLAVAŒ AUX PREMIERS Sif.Ct.ES HU CUHIS Tixx’isME. - 1° D’après les écrits apostoliques -ir UfiSents mots employés par [Évangile distinguent nettement les serviteurs esclaves, - -’d « ’Ltres salariés, ape„.Toi, iJ.’.aO-.o’., sp.-a’v.. î-lais 1 ac ceSn <"ïïivoque du mot servns employé par a Vupïe r des équivalents dans les tracluctions de ^ngue vulgaire, suivant la remarque de Dcissmann, ncMvoinOsten : Tubingue, 1908, p.’iS’i a affaibli es ^ idées éveillées par le texte évangélique. La notion precïe quee mot désignait aux contemporains nous échawe d’autant plus qu’il y avait collusion entre la pra ? iîuc juive de l’esclavage et les coutumes des gen-Uls sans doute très diverses les unes des autres. Un | rnof difficile de saint Matthieu, xxiv, 51, /ac oi/oto- ; mot dime le ^^^.^, , ^^^^^„up écrire. Sous l’mfluencc ; des mœuWpaïennes, il est possible que les châtiments £ irr go’^^.reux aient eu lieu en Palestine du moins che7 es maîtres païens. D’ailleurs, ic, c’est le châtiment éternel qui est désigné. foncK, Die Parnbeln des’^ Tn’y a’rien^dans l’itvangile qui vise directement la auestion de l’esclavage ; mais on y trouve tout ce nu ?5e -ait en adoucir l’amertume et en transfigurer la Suon Notre-Seigneur.Jésus-Christ a pris la forme d’e Se, à la ressemblance des hommes : dependi. ce totale, résultant, non plus d’nne situation jund ? auc mais d’une relation de nature. Librement, .1 Se rson Père le service qui est la fin de toute cxsunce humaine. Du reste, sa naissance et sa mort soit telles qu’elles peuvent inspirer compassion aux p"u infortunés, et de sa vie, la plus grande partie de be".coup est consacrée aux œuvres servUes. les parole du divin Maître auront la mOme action indirecte S eVrace. A pU.sieurs reprises. NotreSeigneur S du fait du service fidèle attendu ou exigé des Saves, pour rappeler aux hommes ce qu’a fortiori Us doivent à Dieu. Un maître fait rendre compte à

f.„r= Matlh xviii, 23-35 ; un autre confie ses serviteurs, .MaiLii., ^- « .vi") >, ., -T^r

^ ! ï- ! - ;  : ^8f : i ; dônn : ^

e : " ; ’tr ?s"ie’ab eau du s’e'^îteur imitil^ : Qn<s aiitem iZtnimMbent servum arantem aiit pascenlem qui

en sTo dcagro dieat ilU : Statim transi, recnmbe Et nondicatei : Para qnod cœnem, et præcmge te, et ZJ^r^ fonce mandaccm’^^ /^^^ « -^^^f /^ Jj ! tu nianducabis et ^’^'^^ ^^’^^"’"'^"^f " ?’7„, ï ; ll d rtr^^^l^^SaMaSrSrr^^N^t.

s^^^ïS^iSïïnïéSs : ^^^

^ acies ; nous ne pouvons dire quelle é a. h. condr-Zn du Serviteur du centurion que saint Luc ^i, 2

rtlusï^^lch^sïa^^ ? ;  : ï=en ; p ; ^^^

combattre directement ^^^’^^’^tl^^s contenait les principes qu, devaient la ^^^.’^^^^

Vïa-aris sinùlilcr mala ; la règle qui servira au ]uet La.anis siniuu.^q : Qnamdiu ecislis

^’: ^’^'Zri^ : ^^s^ninns. nnhi feeistis ; X.s

Ïc t ; nÎi^ ; dUé et de charité, les ^Us pov. ^^

Suel^ Notr^e^ ;.ur en^pel^ A -^, -mp^e,

EPSniisîe’d^hi-cb^

Marc, .X, i^, . l 1^ ^ hommes, et vos

Dans Tef écrits apostoliques, les textes formelle

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1 Judœiis neque’^"^^"’^" „„„5 ^nim vos imiun !  :  ;, rr’rSsrMSm^t’? : r distinctions exté cstis m’--""7^^, , ^ „.„iie^. mais l’âme humaine a une

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( destmée qui’".^’; ' Les devoirs réciproques des ser’""""l’Vin’ir, ex ?or * i P » oublier leur depc, .^

C’vbù-S <le "K, nre « ç.., « i.as con, ii, e eux.’Vï.^li àla^arl"i ; dimculW. I cor.. v„, 20-