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itpo « 8^xi)ç…, par le même, p. 391-307 ; P. G., t. Ci.X, col. 713-731 ; 6. Km : ?, ; aipioviaxf, ; atpÉdswç, par le même, p. 307-312 ; P. Gf., t. CLX, col. 731-738 ; 7. Ka-à t ? ( ; Tir)/ Aar : vwv l-i n3.t t tn.t » vr É <rreîaî, p. 312-315 ; P. G., t. CLX, col. 737-744 ; 8. Ilpô ; tô ûnkp Xartvixo-j Zoy^txTo ; JStëXiov, par Georges Gémistus Plétho, p. 316-320 ; />. ^ ; ., t. clx, col. 975-980 ; 9. 'Arcô toy XiêfXJ.o’j tïjç Ttinrsto ; (le Constantin, prêtre catholique, qui en 1452, à Constantinople, en présence de Gennade Scliolarius, abjura la foi catholique, p. 320-332 ; Dosithée se borne à dire de cet apostat qu’il venait de l’Angleterre et de la Liobéme, p. 320 ; 10. 'Avaouevri to0 Imïp tyjî Sdlji) ; Asctiviov (JiêXi’ou to0 'ApyupoTio’jÀoij, par Théodore Agallien, p. 333-367 ; P. G., t. clviii, col. 1011-1051 ; l’ouvrage d’Argyropulus est dans P. G., t. clviii, col. 991-1008 ; 11. "Ex9s<riç nj « Xarivurij ; t^ttew : , présentée par les légats de Grégoire IX (12-27-1241) au patriarche Germain II (1222-1240), p. 367-378 ; Mansi, t. xxiii, col. 229-301 ; 12. £-j>/ToaoTi-rïj Tipay^aiEia irsp’i Tr, ; xoO 'Ay. IIvî'ju.aTo ; àL7tope’j(T£(i)ç, p. 378-387, dont l’auteur est inconnu ; 13. Aôyo ; itepi ty| ; âxitopsiiffeo)? to0 'Ay. IIv£-J[j.aTciç, par Georges ou Grégoire de Chypre, p. 387-413 ; 7'. G., t. cxlii, col. 269-300 ; 14. Ihp GeoÀoyi’a ; r, êpixïjvsia to0 ffuiiSôXou, p. 413-490, d’un auteur inconnu ; 15. KsçxXgtta Oi'ù'r{iv.x é'vîexct, par Michel Psellus, p. 490-493 ; 16. IIpô ; toùç [tovaxo-jç, par Nicéphore Blemmydes, p. 494-502 ; P. G., t. cxlii, col. 585606 ; 17. 2y|u.s : <ou.o< jup ; to-j ttô<701 narpiâp-/ai êyivovTO *v 'IepoaoX Jaot ; 'laiâwat xaXoiJjievot, par Dosithée, p. 502504 ; 18. Àô -o ! nepl àïû[iti>v, par Jean VIII (d’après Dosithée), patriarche de Jérusalem, p. 527-358 ; Kruinbacher, p. 91 ; 19. Ilepi tctj xaivoTopYiOévcoç xaXevTapfou Trapà Aitwwv, p. 538-547 ; Dosithée y publie plusieurs documents de la polémique grecque contre la réforme du calendrier Julien ; quelques-uns ont été réimprimés par Sathas, BtOYpaçixbv -r/eôiaiixa 'Isp6|ifou B', Athènes, 1870, p. 28-34 ; Véloudas, XpvadëovXX « xa’i rpàivjiaTa, etc., Venise, 1873, p. 13-17 ; Gédéon, Kavovtxai Siwrâlêiç, Constantinople, 1888, t. i, p. 34-48 ; cf. Melchisédech (évêque), Sinodul Constantinopolitanu din anul 1503 sub patriarhul ecumenicu Jeri mia, Biserica orlodoxa romaua, 1831, t. v, p. 785-796 ; Albanas, Reformarea calendarului iulian, ibid., 1898, t. xxiii, p. 34-40 ; Rhalli et l’otli, 2JvTayua ispcôv xavo/(.)/, t. v, p. 149-155 ; 20. Deux lettres de Cyrilles Lucaris, l’une au prince de Roumanie, Jean Radou, et l’autre aux chrétiens de Tirgoviste, p. 547-554 ; cf. Revista teologica, Jassy, 1885, p. 257-262 ; 21. KaTà Aaxfvmv, anonyme, p. 554-568 ; 22. 'AxoXovOîa du synode de Constantinople de 1484 sur la manière de recevoir les Latins qui désirent se convertir à l’orthodoxie, p. 568-570 ; ràxoXo’j9£a est réimprimée dans Rhalli et Potli, E’ivT<xy(i.a, Athènes, 1885, t. V, p. 143-147, et dans Gédéon, Kavovtxal SiataÇei ?, t. II, p. 65-69 ; Petit, L’entrée des catholiques dans l'Église orthodoxe, dans les Échos d’Orient, I. ii, p. 129-131 ; 22. rpàjj.i/a toi ; … àpOoSdlot ; yptariavoîç, par Marc d'Éphèse, p. 581-586 ; P. G., t. clx, col. 111204 ; Dosithée l’ait précéder cette pièce d’une lettre à Dorothée, mélropolile de l'étra, Le Quien, Oriens christianvs, t. iii, col. 727, conlre ceux qui tolèrent les mariages mixtes ; 23. 'O^oXoyîa rr, ; opOî) ; TiiTtîio : , par Marc d'Éphèse, p. 586-589 ; /'. G., t. clx, col. 13-110, avec la réfutation de Grégoire Maminas.

5° Tojaoç -/apy. ; , Rimnic, 1705. Ce recueil est appelé par Dosithée, Tomus jubilationis pour indiquer la joie « que tout bon orthodoxe éprouve en constatant qu’il suffit d’un brin de doctrine pour mettre à nu l’absurdité des nouveautés latines ». Il contient : I. Plusieurs lettre de Photius, p. 1-33 ; P. G., t. Cil, col. 585-618, 722-742, 794-822 ; 2. flpaxrtxà rr, « êitl 'I’mtiVj i-yéa ; 2vvd80u, p. 33-102 ; Mansi, t. XVII, col. 373-524 ; 3. -^inu^in ; ci ; ri)v 7rapo0(7av o-jvoSov,

par Dosithée, p. 103-134 ; il y reproduit 2 chapitres du 1. VIIe de la AwSexàâièXo ; , p. 714-737 ; 4. 'AvteyxLr, ; j.a t(ôv âyxaXo-jvTuv aSsxwçxotTàfî) ; p.t5 ; … xoOXpiaTivj 'ExxXr, (jia< ; , par Nicolas Kéramevs de Janina ; l’ouvrage de Nicolas Kéramevs, mort à Jassy en 1672 (selon Dosithée), est dirigé contre Athanase le Rhéteur, de Chypre, Legrand, Bibliographie hellénique du XVIIe siècle, t. II, p. 82-87 ; t. iii, p. 417-426 ; Omont, Missions archéologiques françaises en Orient aux xvw et XVIIIe siècles, Paris, 1902, t. i, p. 19-26, auteur d’un traité sur la primauté de saint Pierre, qu’Atbanase Patellar, patriarche de Constantinople (1652) avait vivement attaqué dans un sermon à ses ouailles, llypsilanli, Ta iistà tr, v âXbXTiv, Constantinople, 1870, p. 139-140 ; Papadopoulo-Kéramevs, Atiçopa ÉXXvjv.xà ypx(i|iaT3 èx toO u.ojirit’o'j Likhatcheff, Saint-Pétersbourg, 1907, p. 11 ; A. Papadopul-Culiinah, Despre Atanasie Palelarie, patriarh ecumenique, Gonvorbiri literare, Jassv, 1889, t. xxiii, p. 1015-1041 ; 1890, t. xxiv, p. 30-42 ; 5." Aôyoç Ttepi to’j ti'î E<rnvY| àXv|6ï) ; x « 60X(xt| èy.xX^Tia…, xai y.atà t ?, c àp/y, ; t’i'j IH^îra tïjî 'Pôiii.r, ; , par Mélèce Pighas, patriarche d’Alexandrie († 1601), p. 553-609 ; Démétracopoulos, 'OpGôêoEo ; 'EXXdtç, p. 131 ; 6. AtâXoyo ; xa^à Aarè/wv, par Théodore Agallien, p. til0-63I ; 7. Vpi.y.11.3. toï ; ânavra/oO ÔpSoîôÇ i ; /purua'/o 7. ; , p. 631-633.

6° TTTOpia nspl tiîiv iv 'lEpo^oX-jjjO'. ; 7raTpiap/_EuirivTojv, Bucbarest, 1715. Cet épais in-folio a 1247 pages. N’ayant pas eu le temps de le publier durant sa vie, Dosithée, sur son lit de mort, conjura Chrysanthe Notaras, son neveu et successeur, de le faire paraître. Chrysanthe le divisa en douze chapitres (d’où le nom de Awôs.'.àSiëÀo ; que les Grecs préfèrent dans leurs citations), en corrigea le style, et supprima ce qui aurait pu exciler des représailles de la part des Turcs. Le I. XIIIe, où Dosithée rend compte de ses derniers voyages, fut complètement omis. Dans les 'AvâXsxra hpo(T’j).Mx'.ziy.r]<i (jcajrvoXoyîaç, p. 231-307. A. PapadopouloKéramevs l’a publié sous le titre de II ; <?a).siTiouE>/a Éx vi, i iTTOpîa ; 7rsp Tiuv Èv Tsp otoX’j i.oi ; 7rarptapy_£-juàvT(ov, ainsi que les nombreuses suppressions faites par Chrysanthe à l'œuvre de son oncle. Pour rédiger cette indigeste compilation, Dosilbée, d’après Chrysanthe, lit traduire en grec un grand nombre d'écrits de la théologie latine, et utilisa les notes qu’il avait recueillies pendant de longues années. AwcexâSiSXoc, p. 4, 10. Il puisa aussi beaucoup de matériauxdans les 83 cahiers d’une histoire des patriarches de Jérusalem, composée par Païsios Ligarides, métropolite de Gaza (y 1678). p. 4. Dosilbée l’avoue, p. 1180. L’ouvrage de Païsios, écrit en vue de défendre la primauté romaine en Orient, avait été condamné par Méthode III de Constantinople (1668-1671) et Nectaire de Jérusalem. On ne sait pas dans quelle mesure Dosithée mita contribution le travail de Païsios, parce que ses cahiers ne sont pas arrivés jusqu'à nous, ou sont perdus dans quelque bibliothèque grecque. Ses emprunts sont peutêtre considérables, et tels qu’il ne serait pas le véritable auteur de l’histoire qui porte son nom. Cette histoire des patriarches de Jérusalem commence par saint Jacques, frère du Seigneur, et va jusqu'à la fin du xvii'e siècle. Il y est question des conciles généraux et particuliers, des patriarches d’Orient, des empereurs,

des hérésies, des guerres, des i rs des peuples, des

Lieux saints, etc., et surtout de la primauté des papes, contre laquelle Dosithée déploie tout particulièrement son érudition. Les orthodoxes surfont la valeur scientifique et documentaire de cette compilation. Zaviras l’appelle une vraie bibliothèque, p. 269 ; Satbas y voit la meilleure preuve du grand savoir de Dosithée, etun précieux trésor de renseignements pour l’histoire de l'Église et du peuple grec, p. 382 ; le professeur I. Sokolov n’hésite pas à la considérer comme un rempart inébranlable de l'Église orthodoxe conlre les