1 ! : 5
J ( >N
NSCIENCE
11. X
I, ii’. p|’tl Mil a 1
Photiua, Hibliolh. , i P. G t. < i"
Phi n.iii autre chose i ni ore dan
II-.- j rage pi rdu. Il prétendait que le
corp humain t « < i > al dispadi Iruita un jour dam leur forme et leur matli n. mais, à la r< turrection, seront créé* dei liniii.cins entièrement nouveau quanti la matière el quant à la bit a supérieurs bui premiei
i ps qae les ftmes s’uniront pour loujo Ce point de doctrine déplut an moine Théodose, 4 Thémistius, le chef des agnoètes, et en particulier ans trithéistes l ugi ne et Conon. Photius, ibid., col. 60. Conon >.< > ii i i ut qu’à la mort la forme seule disparaît, mais qne la matière persiste, qu’à la Bu cette matière recevra une forme plus b< Ile et que la résurrection ne sera autre chose que l’union indissoluble de l’âme rationnelle avec sun ancien corps transformé. L’entente n’était plu Bible. Conon répudia l’enseignement de Philoponos, rejet. i ses œuvres et fonda la secte rivale qui porte son nom, la secte des cononites. Nicéphore Callisle, II. / :., xviii. 19, Ibid., col. 132.
Sources : Léonce de Byzance, Photius, Nicéphore Calli-tc. ouvrages cités. Travaux : Assémani, Biblioth. orient, , t. ii, diss. De monophysitis ; CeiUier, Histoire des auteurs ecclésiastiques, Paris, 1862, t. xi, p. 650 ; Hefele, Histoire des non
trad. Iran. ;. Paris, 1908, t. ii, p. BOT sq.i Smith et Wace, Dictionary of Christian biagraphy, t. i, p. 622 ; Kirchenlexikon, t. iii, p. 948 ; U. Chevalier, Répertoire. Bio-bibliographie,
2- Odit., cul. luuC ; Topo-bibliographie, p. 775.
< ;. Bareille.
- CONRAD##
1. CONRAD, évêque d’Utrecht, né en Souabe,
assassiné à Utrecht le 14 avril 10’Ji). Il l’ut d’abord camérier
de l’archevêque de Cologne, puis chargé de l’éducation
du prince qui devait être Henri IV. empi
d’Allemagne. Nommé évêque d’Utrecht en lo7.">, il soutint
une lutte acharnée contre Thierry, coinle de Hollande.
Il fut fait prisonnier et perdit une partie des
possessions de son diocèse. Henri IV sut l’en dédommager.
Conrad soutint ce prince dans sa lutte contre Grépoire
VII. Il fut le fondateur et l’architecte de la collégiale
di’Notre-Dame à Utrecht. On prétend qu’il fut
assassiné par un maître maçon auquel il aurait surpris
le secret de bâtir solidement sur des terrains marécageux.
Il est plus vraisemblable qu’il fut mis à mort sur
l’ordre du marquis Egbert dont il retenait les domaines.
II nous reste de ce prélat un discours qu’il pronom a en janvier 1085, dans l’assemblée de Gerstungen : Apohigïa de unitale Ecclesise conservanda et schismate inter Benricum IV imperatorêm ac Gregorium Vil pont, riia.c. Il a été imprimé dans l’ouvrage de Melchior Goldast, Replicatio proS. Cœsarea et regia Francorum Majestate… cum apologiis pro Henrico IV adversus Gregorium VII, in-4°, Hanau, 1611.
Valère André, Bibliotheca Belgica, in-4 Louvain, 1643, p. 141 ; Fabricius, Bibliotheca latina médise et inflmæ latinitatis, ln-8’, l s 58, t. i, p. 389 ; Hist. littéraire de la France, in-4 Paris, t. viii, p. 500 ; Ceillier, Hist. générale des aitteurs sacres, in-4° Paris, 1757, t. XXI, p. 124.
lî. H El IRTEB1ZE.
- CONRAD DE MEGENBERG##
2. CONRAD DE MEGENBERG, DEMAGDEN-BERG,
DE MONTE PUELLARUM, théologien allemand,
né en 1309, mort le 1 i avril 1374. Il vint étudier
à Paris, y fut reçu docteur et y enseigna la théologie
pendant huit années. Lie retour en Allemagne, il obtint
une chaire à Saint-Étienne de Vienne. Ayant été guéri
miraculeusement à Hatisbonne par saint Erhard, il
écrivit la vie de ce saint, Acta sanctorum, 1643, t. i,
p. 541, et se fixa dans cette ville où il prêcha avec succès
et devint chanoine de Saint-Ulrich. Outre la vie de
saint Erhard, Conrad de Megenberg écrivit un ouvrage
contre les héghards dont un fragment a été public par
Gretzer, dans son ouvrage : l.ttcx Tudensis episcopi’an, M’a
., m 1. Ingolstadt, 1613 ",
bonne. :.i*. I xii. |.1 ois | : i bibliotheca
Irai. p 310. < In lui, i., il.’.,
/.’, e Joanne.VA’// eut, a
de Ratisbonne, dont un extrait a. té publié dai hitloricum medii.<, , , Leip/ig. ITi’i. t. n. i’t’'> livres intitulés : Œcnnotnica, ou il trait. rapporta de l’Église et de l’empire, etc.
lui l
Fabricius, Bibliotheca lotit 1m* latin :
ln-8 1, 1858, t. I, p. : ; -.’- C. Il du-iji Ittlichi i., /, ., /, ’lai
talsclu (lsTrf… t. i, |
.ilFéret, La i
âge, Paris, 18%, t. iii, :
I ;. Hei rtebize.
- j. CONRAD SUMMENHART. Voir Simhlnhart,
- CONRY Conrius en latin Florent##
CONRY Conrius en latin Florent, né en Iti-’dans pConnaugbt, mis I0Ô0. entra dans l’ordre des
frères mineurs de la stricte observance. Il avait favi
de tout sori pouvoir la descente des Espagnols ;
vrer son pays du joug de la rem.- Elisabeth, aus-i.
la défaite de Kingsale il gagna le continent et vécut en
ique et.n I ; pagne. Dans un chapitre, tenu le
13 mai 1606, il avait été nommé’provincial d’Irlan
au consistoire du 30 mais 1009 il fut préconisé archevêque
de Tuam. On lui doit la fondation du collège de
son ordre à Louvain eu 1610. Conry mourut à Madrid le
18 novembre 1629. Il avait fait une étude toute spéciale
des œuvres de saint Augustin et on en trouve le résultat
dans les ouvrages qu’il publia ou qui furent impi
après sa mort. Lié d’amitié et en relations scientiGquea
avec le célèbre Wadding, ils travaillèrent de c. n
pour la cause de l’Immaculée Conception : et il.
sur ce sujet De S. Augustini a beats Marix
conceptii>neni, in-i. Anvers. 1619. On a encore de lui : Trac talus de statu pai si ne ba]>'
decedentium, in-4°, Louvain. 16’21, 1635 ; Rouen. Peregrinus Iericliuntinus, hoc est de natura liumana féliciter instituta, infeliciter lapsa, miserabiliter vulnerala, misericorditer restaurata, in-i. l’ai, s. cet ouvrage fut publié par un de ses compatriotes Tl Macnamara et fut traduit en français sous ce titre : Abrégé de la doctrine de.S. Augustin touchant la grâce, in-4°, Paris, 1645. dans un Recueil de divers ouvrages touchant la grâce, paru a Paris ; les bibliographes en font ordinairement un ouvrage latin distinct du précédent ; De flagellis justorum juxta mentent S. Augustini, Paris, 1644 ; Tractatus de gratta Christi, 1 1610. Conrius publia aussi en anglais un Miroir de la vie chrétienne, Louvain, 1620, et on trouve dans V Histoire d’Irlande de O’Sullivan une lettre de lui contre la proscription et la spoliation des catholiques qui avaient combattu pour la défense de leur foi contre les Anglais.
Wadding, Scriptores ord. minorum, Reine. 1650 ; Ainal. ord. minorum continuatio, ad ann. PIS, Quaracchi. 1886, t. xxv : Sbaralea, Supplementnm.f castigatio ad scriptores ord, minorum, Home. 1806 ; Hœfer, Sourelle biograj’bû raie, Paris, lsCti. t. xi.
P. Edouard d’Alençon.
- CONSANGUINITÉ##
CONSANGUINITÉ. Voir Parenté naturelle.
- CONSCIENCE##
CONSCIENCE. — E Ei conscience psychologique.
II. La conscience morale. 111. liaison d’être de la conscience
morale. IV. Éléments intellectuels de la conscience
morale. V. Analyse de l’acte de conscience.
VI. Éléments affectifs de la conscience morale. VU. < Il igines
de la conscience morale. VIII. Propriétés de la
conscience morale. IX. Fausses prétentions de la conscience.
X Les maladies de la conscience.