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COLÈRE
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LeîpèSà leur tour s’efforcent à l’envi d’arracher « tte^ssionduccEurde Il me. Samt Cypnen a
composé un traité complet, De bono patumtue, 1 L., ’", , , 622-639, où » l montre toute la laideur du , , -. ;. Je la vengeance. Saint Ambroise a exposé les
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csïîtasi’iij ; ’-", *r, K
culpabilité. De ser « .o, .e in monte, I. I. c. a, x u i t xxxiv col. 1241, 1257.
1 AVa » S "- La colère est-elle criminelle dans son obt l r le désir d’une injuste vengeance, c’est un Sché mortel « r génère sua. L’est-elle seulement dans a SÏpgSnde irritation intérieure ou extérieure qu elle ni elle ne constitue qu’une faute vénielle. M
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Alexandre, IVocl. * P « « t, s, « « ; - "’„'. ifarc, lv, ’„ « è dan, le premier cas, la charité et la justice
Sa* i « re feita est solum Veccatumvm^.^
- ^ » r suite de circonstances modiliant le carac
£ de’culS ité de la colère, le péché mortel, ren, , L C 1 ; ie désir d’une vengeance injuste, pont wenir ** 1 II en est ainsi d’ailleurs de tout péché
SE ? Zc f ci ?TéSproquement en raison des circons nc’ee péché véniel qui accompagne le manque d Sure’dala colère, est susceptible de devenir m rte » « accident. Ce cas se présentera, par exempi ££ transport h-***- ! - « S
on se H-ins le transport îmmuuei » ; « …. j
blasphèmes. un to
T’', ’v. a * elîe™. Vepenean….le. ssptpécbés çap,
!, „.„, i part rimpétaorité d.
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. lemenU, <-t c’est ce qui Bu. dire au Saint-tsp
, , | U1 qo( | irrite aiaément est par ij
même plus porté < » cher. » Quels sontdonc les péché, qu’enfante U uni
Grégoire, Moral, in Job, l. XXXI, c. xlv. n. 88, P. L., I lxxvi.col.821, en indique sii : De ii i
mentis, omli *i*, clanutr, indignatio, bUuphenttm
proferuntur. Querelles, enflure d’esprit, u
,, . p r0C hain, cris, indignation, blasphen
di des de leur mère. Saint Thomas, loc. « t., a. 7, n
kit assister à leur naissance « 1
envisagée sons trois., -. l.ai ; ord. ce, ., ,
bouleversant notre cœur, e ! c’est alors quelle
deux vices. U premier se rapporte au téméraire dont
nous vSns tirer vengeance. Nous le regardons con
non autorisé à nous faire pareil affront ; c’est l
anal o, Le second se rapporte a nous-mêmes. Nous
^S enquête de mille moyens de vengeances
.-„, „ se remplit de ces nomP ( dWt dont l’Écriture, Job, xv, 2, a dit :. Usa
ÎSira-ïil " poitrine de vent ? » Sous un deux*
J’. lant uù’elle se trahit dans nos paroles la co lSe produit encore deux sorte, de dé* J, ment-- L un ronsTste en ce que, dans un langa{ , nn on manife-te la passion qui nous.rouble ; Ztt crû rÏÏÎS a li-u lorsqu’on éclate en injm
î’on entend tous les torts que cette passion peut alors
C Te^ :. % douceur étant, a vertu dont le ri, e est de modérer la colère conformément a la d. Sn selon l’enseignement du docteur angél.que S 2rnH’- q cvii, » 2. le remède pnnapal da coîère’=e trouve évidemment dans la pratique de celle ve tu Voir DODCEUB. Nous indiquerons’« quelques
i f « te", l prS-ovanco e, J’e « ereice. nous « pH » ;, .lépo » .’v » .<liir, en. m e„t p.ureo„ S -no « S. toc. " Ser la vraie liene de con.luile à leiur pour ne pas…c il, eoièro. Ces remèdes préservants sont de comber a la colère. w r rdre FU1 „, .
IT, C « T e, ’premierifeTle à**W-— - » o ; »
colères et vin. ca^ rL ^ m(, dit ; ltl0n
des causes de la colère^ l ^ ^^^
i^f^utun soÙmerari. —* » ^ pt^^tiu.e répons, se contenta de lii, , re :
i’oi hion narlé pourquoi me îrappes iu
n LU en croix, alors que tous se nu^