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f.II’.CONCISION

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v.’.. 5. I ! embii i pendant qu’il > ent quelq phor i. l’i min. di Mi

suite di i

de sang, i oui

i que son lils aui pieds (eup mari pour

lui appliquer le rite di la circoncision et le meltre i l’abri de la colère di ine. B. Dæntsch, Exodua, Gœttingue, 1003, p. 35. So Dieu rappelle le précepte de la

ncision : ce Cul à l’occasion de la Pâque ; seuls les circoiM ipurent * prendre part. Eiod., su, 14, 18. Au

t, cette obligation fui iu i rappelée. la mère de

tout enfanl mâle demeurait impure pendanl Bepl jours, et l’enfant étail circoncis le huitième jour. Lev., xii.

Durant les 10 ans il’- séjour au désert, la loi ne fut appliquée ni aux nouveau-nés ni à la multitude qui s’était jointe au peuple hébreu. Exod., iii, 38 ; Lev., xi, n’est qu’à Galgala, sur la rive droite du Jourdain, non loin de Jéricho, que la loi de la circoncision fut remise en vigueur. Jos., v, 2-11. A partir de l’établissement des Uébri ux dans la terre de Chanaan, la circon d rut i nuis rigoureusement observée. Les dernières traces de la circoncision, avant sou abrogation, ni dans l’Évangile île saint Luc, i, 50 ; ii, 21, et’l ins les Épi très de saint Paul.

l 2 Symb de la circoncision. — 1. Chez les

Il breux plus que parmi les autres peuples, la circoncision a toujours eu une signification religieuse. Selon l’historien jéhoviste, elle avait aux yeux de Jébovah une importance capitale, puisque Jébovah punissait quiconque l’omettait. Exod., iv, 24-26. Le Code sacerdotal est plus explicite ; il présente, Gen., xvii, II. la circoncision comme le signe d l’alliance entre Jébovah pt 1’: I. Au moment où les Hébreux sont établis dans la terre diChanaan, la circoncision serl à les distinguer di >s Philistins incirconcis >. Jud., xiv.’, ', -. xv. 18 ; 1 Reg., xiv, (i ; xvii, 26, 36 ; xxxi, i ; II Reg., i. 20, Lorsque.li.su/- eut circoncis les enfants d’Israël, le Seigneur lui dit, Jos.. v, ’.) : e Je vous ai enlevé aujourd’hui l’opprobre d’Egypte ; » cet opprobre n’est que le mépris que les Égyptiens avaient pour les incirconcis. Ce récit I lisse entendre que, pour occuper légitimement la terre de Jébovah, les Israélites devaient porter sur leur chair le signe de l’alliance avec lui. On en conclut parfois qu’anciennement la circoncision étail pratiquée en Israël, non pas sur les enfants, mais sur lev jeunes gens à l’époque où ils étaient reconnus capables de intrai ter mariage. C. Steuerna i tinç ne. 1000, p. 168. Cerla - pensent que le Code saci rdotal a rat taché relie coutume plus ancienne que Moïse à l’élection

raham et aurait été le premier à attribuer à la cirion une eflicacité m. mile et spirituelle. Pour lui, la valeur du signe ne résulterait pas de sa nature et île sa si anglant, mais procéderait

uniquement du pn ceple divin. Loisy, La religion d’Israël, Paris, 1901, p. 30. En réalité, l’auteur du Code

rdotal voit dans la circoncision un signe d’alliance entre Dieu et la posti rite d’Abraham, et il lui : un cachet religieux et national. Il n’a donc pas perdg de vue le véritable sens de I institution, car dans tout le cours de l’hisli concision a eu

un caractèi uxel sacré.Cf. Benzingi r, Heb a

a Brisgau, 1894, p. 156-157 ; H. Gunki : it., Gôtlingue, 1902, p.

Drivi. i, ndn -. 1904, p. 189 l’.H.

2. i ii di on propre, la circoncision

a encore dans la i rvi de base, par an

U ! le leÇOn lux I. lie. I

., xxvi, m 16 ; ux,

taclea Inli

il. Rom., .i i e

lymbole de l On est in

cilement la v< i 1er.. vi.Y m.

; Cérémonial. — Four cin

indique l’antiquité <lu rite, pratiqui

un, eut’, de pierre. D’après Gen. x 1 1 12 ; Lev., mi. 3, l’enfant étail cii huitième jour apn de là, 1 1

de saint Paul : rapcTopLJj ôxta^iupo ;. l’I.il.. iii, .">.

i brogalion de la à t. —

La circonci >ion fut nou velle donnée au monde par Jésus Christ, et en a temps que la loi ancienne. Voir t. i. col. 129-133. Mais feux qui al du judaïsme eurent quelque

peine à abandonner cette coutume ; c’est pourquoi l’assemblée réunie à Jérusalem, à la suite des rappor-Paul et Barnabe, déclara la circoncision non nécessaire. Act., xv. 1-29. Les juda se tinrent pas pour

battus ; ils combattirent surtout Paul, qui prêchait partout l’abrogation de la circoncision ; saint Pau] n’eu -un pas moins la même doctrine : ’J’ite n’e^t pas forcé île s, , r., , , —, . circoncire, Gal., il, ’.i. le Christ ne serl de rien à ceux qui se font circoncire, cai en i Christ ni la circoncision ni l’incirconcision n leur, mais la fui qui e-t a| r la charité, ibid., v.

L-2, ij. Il : vi, 12-15 ; la circoncision et l’incii ^ ut inutiles, si on n’obs les commandements

de Dieu, Rom., n. 25-29 ; I Cor., vu. 18 - a foi

qui justifie et le circoncis et l’im irconcis, Ilom.. m Abraham a été justifié étant encore incirconci>. Rom., iv, 9-12. Saint Paul ne met aucune confiai ! i cir concision charnelle, Phil., iii, : ’, -ô ; il n’y a plus de diû*i n nce entre la circoncisionet l’incirconcision. Col. iii, 11.

i. En pratique. — On la tolère cependant pour les Juifs convi t ainsi que Paul lui-m ncit,

Act., xvi. ! - : '>, Timothée, N<u d’une mère juive. judéo-chrétiens, contre lesquels lutte cet ap il.ii.nl la circoncision obligatoire et l’in aux

païens qui dent. Apres la mort de

Paul, Cérinthe exigeait encore la sion. Voir

col. 2151. Au usiècle, li -. les elkasaîtes pra tiquaient l’ancienne coutume juive. La. continua donc seulement dans les sectes hérétiques. Au ive siècle ncore prali

judéo-chi

dans leur ol stination à observer la loi inos Duchesne,

p. 135. A la fin du xii sii i.u avi c i

rent 1378 Histoire de VI I. Bélet, 1

! ’22 | raliquenl

nent la circoncision, mais Us ne la regardent

même comme une cérémonie religi

""- 444 ; Gotha,

221 ; M. eu :

H. I de saint Paul sur

ilité de la loi non.

it, en dehors des sectes ji