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PRIÈRE PRILESZKY (JEAN-BAPTISTE)

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asi érisquesont ceux desauteurs noncathollques. A.. d’Aies, art. Prière, d ms Dictionnaire apologétique de la fol catholique, L022 ; saint Alphonse de Llguori, Theologla moralis, 1., De prœceptis particularibus, c. n. De s/ « /u clericorum, dut). 1 1, Oc ftoWx canonicis ; ai. Aman, La prière, à l’école du christ, aux accents du psalmisle, Avignon (1932) ; saint Augustin, Lettre à Proba, l’. L., t. xxxiii, col. 493-517. trad. française dans’.a oie spirituelle, sept, a déc. 1930 ; Ballerini-Palmleri, Opiu theologicum morale, tr. IX, /Je præceptis particularibus, c. ii, /Je.sin/ii clericorum, dub. ii, />< /ions canonicis, 3e éd., Prati, l’joo ; Bellartnin, Décimée quarUe conlrouersise generalis. De reparatione gratise, 3° euntriversia princlpalis, De bonis operibus in parliculari, t. I, Deoratione, Vives, 1 S7I4 ; Alph.Bolley, Gebetsslimmung wui débet, DusseldorI, 1930 ; saint Bonaventure, De profectu religiosorum} <>. Bon toux, La prière idéale d’après la Bible, Avignon, 1921 ; 1°. Bouchage, Pratique des vertus, t. iii, 1892 ; H. Brcmond, Histoirt littéraire du sentiment religieux en France, t. vil et. iii, La métaphysique des saints, 1028 ; t. x, La prière et les prières de l’ancien régime, 1932 ; t. XI, Le procès des mystiques, 1933 ; Introduction à la philosophie de ta prière, 1928 ; Prière et poésie, 1926 ; F. Cabrol, La prière des premiers chrétiens, 1029 ; F. Cavallera, Ascétisme et prière à propos d’une prétendue crise, dans la Revue d’ascétique et de mystique, t. IX, 1928, I). 54-90 ;.1. Chanson, Élude de psychologie religieuse sur les sources et l’efficacité de la prière dan ? l’expérience chrétienne, 1927 ; M. Deutin <er, lm Geisl und in der Wahrhcit, Gedahken zu einer Philosophie des Gebetes, Mainz, 1921 ; Duguet, Trai è de la prière, principalement de la publique, où les motifs et les moyens qui peuvent contribuer à y conserver de l’attention et de la ferveur sont expliqués, éd. Sylvestre de Sacꝟ. 1858 ; V. Frmoni, Jésus et la prière dans l’Évangile ; Saint Paul et la prière, coll. Science et religion, n. 40 1 et 459, 1908 ; Grou, L’école de Jésus-Christ, t. II, 30’40° leç., Lille, Desclée, de Brouwer et (Me, 1023 ; B. Guardini, L’esprit de la liturgie, trad. R. d’Harcourt, 1020 ; J. de Guibert, Documenta ecclesiastica christianæ nerfeclionis sludiumspectantia, Rome, 1031 ; le mi’me. Oraison mentale et prière pure, dans Revue d’ascétique et de mystique, t. XI, 1030, p. 225-238 et 337-354 ; Guigues I er, Scala claustralium sive tractatus de modo orandi, P. L., t. ci.xxxiv, col. 175-184 ; Vr. Heiler*, La prière, trad. Kruger et Martv, 1031 ; Bod. Hoornært, Liturgie ou contemplation, dans Éludes carmélilaines, avril 1032, p. 177-215 ; Hugues de Saint-Victor, De modo orandi, P. L., t. ci.xxvi, col. 077-088 ; V. James*. L’expérience religieuse, trad. Abauzit, 1906 ; Jean de Saint-Thomas, Cursus théologiens, t. vu. In I/am Zfse.q.txxxin. Vives. 1886 ; Ant. Koch, Lehrbuch der Atoraltheologie, 3e éd., Frihourg-en-Brisgau, 1910 ; l.nndriot. Instructions pastorales pour le saint temps de carême, 1850 1864, dins Œuvres, t. Il et iii, 1864 ;.1. Lebreton, La firière dans l’Église primitive, dans Recherches de science religieuse, t. xiv, 1024, p. 5-32 et 07-133 : G. I.efe’ivre, Liturgia, ses principes fondamentaux, ab’iaye de Saint-André, 1922 ; A. Lemonnver, La » rière chrétienne de demande, dans La vie spirituelle, mars 1925, p. 558-574 ; Jean Médina, Codex de oratione, contenu dans le De psenitentia, restilulione et contractants, Ingolstadt, 1581 ; F. Ménégoz

  • . Le problème de la prière, Strasbourg, 1925 ; Menncssier,

La religion, trad.de la Somme théologiqne de saint Ti ornas, t. i, ll*-Ilw, q. i.xxx-lxxxvii, 1932 ; II. Monier-Vinard. La prière du P. de Foncauld d’après.ses écrits spirituels, dans Revue d’ascétique et de mystique, janv. 1930, p. 37-62 ; Monsahré, La prière, philosophie et théologie de la prière, 1006 ; Navarre (Martin A/pilcueta), Enchiridion (ou Commentarius) de oratione, horis canonicis, alqne « /lis divinis oficiis, au t. vi des Opéra omnia, Venise, 1618 ; Eul. Ne’iredi. De oratione secundum divum Auguslinum, siimmosque doclores Ecclesiæ Joannem Chrysoslomum et Thomam Aquinalensem, Bilbao, 1022-1023 ; Nicole. Traité de la prière, 2e éd., 1702 ; du même, Instructions théologiques et morales sur l’oraison dominicale, la salutation ang’liqne, la sainte messe et les autres prières de l’Éqlise, I.a Hâve, 1710 ; saint Nil, Traité de la prière, trad. dans La vie spirituelle, juill.-août, 1925, p. 472-407 ; Origène, rien ! EÙyïjr, P. G., t. xi, col. 413-562, trad. < ;. Bardy, dans Bibliothèque pntristique de spiritualité : Origène, De la l>rière. Exhortation au martyre. 1032 ;  !.. Paulot, L’esprit de sagesse, 1026 ; R. Pierret, La prière liturgique, dans La vie spirituelle, nov. 1032, p. 141-159 ; J. Pinot, La montaigne de contemplacion ; 7. a mendicité spirituelle, de Jehan Gerson. filiale de deux opuscules français de Gerson sur la iirière, I.yon, 1027 ; B. Plus, Comment bien prier. Comment >< toujours prier, Toulouse, 1932 ; Prière liturgique et vie chrétienne, Semaine liturgique de Namur, 12-t6 juin 1032, Gem DlouX et l.ouvain, 1032 ; M. Puglisl*, La preghiera, Turin, 1028 ; (). Schilling, l.ehrbueli der Moraltheolngle, t. n. Munich, 1928 ; J. Segond, La prière. Élude d< psychologie religieuse, 2’éd., 1925 ; Ed. Tnamlry, L< i vertus théologale », hur culture par lu prière il lu oie liturgiques, Avignon, 1933 ; sainte Thérèse, Le chemin de la perfection, dans Œuvres complètes, I. iii, 1924 ; L. Thomassin, Traité de l’office divin

ilans ses rapports mue l’oraison mentale. Ligugé, 1894 ; A. Vol

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Bruges, 1012 ; J. Vernhes, Le vrai chemin du paradis OU la prière, 1031 ; J.-B Walz, / ie FÛT bille der armen Seelen und ihre Anrufung diveh die Glaubigen auf Erden, 2e éd., Bamberg, 1933 A. Fonck.


PRIEUR (Philiope LE), érudit français du xviie siècle. Né à Saint-Waast, il fui professeur pendant quelques années à l’université de Paris ; vers 1660. il fut exilé de la capitale pour des raisons que l’on ignore et ne rentra à Paris qu’en 1075 ; il y mourut en 1080. Humaniste fort érudit, il s’est occupé surtout d’éditions patristiques : en 1664, édition de Tertullien d’après celle de Rigault, avec, en appendice, les deux traites de Novatien, De Trinîtate et De cibis jadaiei » (voir Sehonemann, liibliotheca historico-litteraria Patrum latinorum, t. i, p 18-49) ; en 1600, édition de saint Cyprien, d’après celle de Rigault, avec, en appendice, VOctanius de Minucius Félix, VAdversus ; entes d’Arnobe, et le De errnre profanarum religionum de Firmicus Maternus (cf. ibid., p. 127) ; en 1079, édition d’Optat de Milève, avec les douze livres de Facundus d’Hermiane, In defen.iionem trium capitulorum (cf. ibid., p. 352-353). Aucune de ces publications ne représente un travail original, mais Le Prieur a su y grouper, avec bon nombre des annotations des commentateurs anciens, des réflexions personnelles qui ne manquent pas d’intérêt. Il avait étudié d’assez près l’antiquité chrétienne, comme il le dit dans la préface d’un autre ouvrage : De literis canonicis dissertalio. cum appendice de tractoriis et synodicis, Paris, 1075, qui abonde en remarques extrêmement savantes.

Plus jeune. Le Prieur avait publié, en 1050, sous le pseudonyme d’Eusèbe Romain (ce qui a parfois amené à l’attribuer à Mabillon), une réfutation de l’hypothèse préadamite d’Isaac de La Peyrèrc : Animadversiones in librum ftrœadamitarum, in quibus confvttatur nuperus scriptor et primum omnium hominum fuisse Adamum defenditur, s. 1., qu’il corrobora par une Epistola ad clarissimum virum Isaacum Peyrerium, Paris, 1058. On a confondu parfois l’ouvrage de Le Prieur avec celui du P. Claude Dormay. Animadversiones in libros Prwadamitarum scu anliexercUatio super ners. 12. 13 et 14, cap. V episl. S. Pauli ad Romanos, Paris, 1059 (la confusion est encore faite dans le Catalogue général des imprimés de la Bibliothèque nationale, comparer t. xii, col. 484, et t. xcv, col. 440).

Moréri, Le grand dictionnaire, éd. de 1753, t. viii, p. 568 ; Hoefer, Nouvelle biographie générale, t. xli, 1862, col. 39 ; Hurter, Nomenclalar, 3e éd., t. iv, col. 155.

É. Amann.


PRILESZKY Jean-Baptiste, jésuite hongrois, né le 16 mai 1709 à Prileski. admis dans la Compagnie en 1727. Il enseigna la philosophie, la théologie et l’Écriture sainte à Tyrnau et fut recteur de plusieurs collèges. Après la suppression de la Compagnie, il se retira chez les piaristes à Trentschin, où il mourut le 21 octobre 1790.

On a de lui : 1° de nombreuses publications patristiques : Apoloqiæ morales S. Ci/rilli, Tyrnau, 1744. 1751 : Xotitia sanctorum Patrum qui duobus primis Ecclesiw sœculis floruerunt, ibid.. 1753. 1760 ; S. Cypriani acla et scripla omnia, in sommant redacta et prolnquiis atquc annotationibus illustrala, ibid., 1761 ; Acla et scripla S. Theophili et M. Minuta Felîeis…, ibid.. 1764 ;