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APOSTOLIQUES (PÈRES)

Le titre de / l f un 'tfuLtS »  » £ KfftSÏÏSS

T.' ¥ffV’Xff G t. xx, col. 296, si l’identité ÏÏÏ2/l « n’SaU chose définitivement accise ; celui delSur de l'être à / ; io r, „é„, qui se d, t « ro « oX « ov ne 1 auteur < ; gang.^ se véri _

^SvéSté de son re ; celui d’Hermas, le frère du

P ï celui de l’auteur de la mdacke qui se

Z Pnlvcaroe tout ce qui nous reste de la littérature

assura r mPS d^ s «  « » ou > ^jES

en dehors des livres canoniques ; par suite la Bufcu. « , fe pstdo Sïnabé, Papias, l’auteur de I*, » * « I* » "ST’HiSSS : - Toutes ces œuvres à *£*%*

Yfi.ilre à Diugncte restée inconnue a lantiquiM clac i ont été appréciées et utilisées des leur « ppm,

E^esJ^

d’une autorité presque égale a celle de 1 tenture, mais SéTau début du iv siècle, Eusèbe croyait quelles 1-t, i„ m p tout ce qu’elles pouvaient donner. Il est TraTqe 1er d s conflits théologiques et des définitions uo K ma «  « ucs, les Pères apostoliques furent négligés urôun Occident. L’activité littéraire s exerça, , sur un Plus vaste champ et devant de plus lar.es horizons Hul n., ui traduisit les fausses Clémentines, négligea empiétement la Lettre aux Corinthiens de Clément ? s P t n au moyen âge, ce fui pire. On continua a uidui « *ês épttrJ de saint Ignace et de saint Mm* , on lit circuler des collections fortement nterpç, A l'époque de l’organisation scientifique de la Slogie, Kissa presque complètement de côte ces "mers témoins des origines chrétiennes. Sous la R mè l’oubli aurail pu se raire ; maia alors se produisit Changement, tue : l’attention fut trament et défin ?tivS ramenée sur les Pères apostoliques. Prote*

cestemoiMetapprentod’euxlafoidel^lraprimi , , ve *on organisation intime, sa hiérarchie. De plus.la SSoÏÏ, Sue en éveil par l’importance des questtons Es débattues, fût excitée et en parue saUsfaite par les

, du xv.r dVÏolxcarpe paruren 1 ( ;, .do-Barnabé, en 1645 Depuis, linl

, .Je, . !, Dans nota " b,

cVti

ut ainsi.

, , , „, , , - la controverse. Et de* décou

I, ;  ;  ! ', ; i ux précédent, , : Cureton ^'.^.

traduction su, , que de sa.nt I

Pétermann, sa traduction arménienne en 184

b, publication du i

A » Codex Sinaitictu par Hschendorf, en 1862, on eut

son ? é.rité. Des 1807, Dressel avait apport, - une I ZXSZ à cette publication de textes so, lori-inal soit dans des versions. DAbbadie donna

^ " a traduction éthiopienne d Hermas.

ineun os omUa une lacune par la découverte et la

, n dP la Lettre de saint Clément dans 1 original publication de la Uttre je sa ^ publia

E3 onÏ, uL, S ;, cet l, ., né, , , e Lettre. Knfin paru, bî)£d* en 1883, grâce a l’heureuse d^uve, , r Brvennios de ce document depuis -, longtemps Aoçae. ' "croire que la série n’est pas clo<e. quant a 1 n"rÏL Peres^postoliques, déjà si puissamment excite, il n’est pas près de languir.,, .

tll Place dans la utTÉRATOTE chkétieniib. Pt, apostoliques servent de Irait d’union entre tes « ; ît les apolo, is, , s : il. forme-nte » - »  »

„, ., „ solide de la tradition. Des le H « Siècle, leurs

i : - °sont entoureesjun profond « .^^ « j. dr^ém : rcUoe de q ^rnaie^ei^, 1, d, lern ; as.

lis en. du n privilège à part ; elles sont lues pubhjouis.em x r roun ions chrétiennes, 1 m

Eh 1 utre a Alexandrie, la troisième en OccjSen 1 s sont même insérées dans les manuscrits a sutte des livres canoniques et traitées presque a légal

d.„, l.usjU-.il. i-- » ' ;, , „, |. ; „ s,, . e.

arp : S"'^r t 7?3

8 ', oq. y. p G. viii.col
 ; r’p^ :.^ -b ; ^ : o, igene ; /), T c, 3.

a ÀV ;., t. x'.. coi. 148 ; mno » , , *.M.iG t. x, col. 1282 ; Teriullien. De orot., xvi. P. 'j’jj^g ;

urs ;, , , , , 1 se fonde, , , dans leur langage. Us sent d Saatlèco^nt^^

nis. a fo d l'Église, Us n’en manifestent pas moins

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, .„r Mais i éaale dislance de ces deux extrem

!, "r J V » l « " le « oindi. WK « ' » " "" ;