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APOLOGISTES Ll - Pi I
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consécration, l’échange du I-^’H-. , , „„„„ M, les diacres, de la communion et lactionu Se !, Apol., 1, 65-67, col. 128-428 ; c’este sacriuce , ’, w v, li, Loi, le vrai sacrittce déjà "S » * * » " fLcien Testament Dial., 41, 117, col. 564, 745. NotresSSr y est offert dans la réalité de son corp..et de ^ng ; « de changement du nain au corps et du viii

„.„„ :, i, Jésns-Christ est clairement indiqué,

, Je la théologie appellera transsubstantiahon ; donc

„, „, réelle et réelle participation du commuman

àûeorpsetausangde.lésus-Chr.s.., , … mal compn^ où Sesties par lis païens, donnèrent heu a la double accusation d’infanticide et f anthropophagie. y Vie chrétienne. - Voir plus haut. IV, col. 1591. 10 Salut. -Voir plus haut, III, côl. 1587. La.foi sauve rnr la charité et la circoncision du cœur, l’as de justice LisVcSé Justin, ^ !., 13, 14, 93, col. 501-508, 9, le Christ est venu pour appeler les pécheurs, Justin, Anal i 15, col. 349, et faire des chrétiens le vrai peuple én.DM., 119, 121, col. 752, 757. Il nous donne sa grâce secours puissant et efficace, Apol u 10, çoL4M, « 1 nous délivre de la captivité. Dial., 39, col. o60. Il a répandu son sang sur la croix pour nous sauver. Dial., 93 9* 95 col. 697-701. En dehors de Jésus personne ne peut se sauver. Les philosophes ont pu être traites d’athées ; s’ils ont vécu conformément auUre^s sont sauvés, Justin, DM., i, 46 ; ii, 10, 13, col. 397, 160, 465- de même les Juifs. Mais, actuellement, on peut tolérer l’observation de la loi chez les chrétiens, a la condition de ne pas la regarder comme nécessaire pour le salut. Justin, Dial., 47, col. 5/6. P 11. Eschatologie. - Selon la prédication deMo.se, Justin, Apol., ., 60, col. 420, le monde do.t périr dans une conflagration générale, par 1 âxTwpox » ;, Justm, Apol, H, 7, col. 456 ; en une fois. Tat.en, Ornf., 20, col. 86E Â quelle époque ? On l’ignore. Saint Justin, écho des appréhensions de l’âge apostolique, croit —te cette fin du monde, Dial., 32, col. 544 ; Tertullien estime que le monde durera autant que l’empire roma.n. Avoloa. 32, P. L., t. i, col. 447.

Alors aura lieu la résurrection. Ce dogme du symbole chrétien restait toujours une pierre d achoppement pour les païens ; aussi les apologistes ne cessent-ils dy fnsister, d’en montrer la vraisemblance, a nécessite. îï.Vtin Avol i 19, 52 ; Diai., 69, col.357, Rio, 640 ; TaUen, A 6, 20, col. 817-820. 852. Théophile voit des images sensibles de la résurrection dans 1 alternative du jour et de la nuit, la succession des saisons, la croissance des germes, la fructification des arbres le retour des malades à la sanlé. Ad Autol., I, 1, , 8, U, col 1036 1041-1044. Athénagore. après une allusion Spide dans sa Legatio, 36, col. 972. consacre à ce dogme son traité H S p iv « <rxA « » « ; laissant décote a question de l’état des corps ressuscites tant au point de vue physiologique qu’au point de vue surnaturel, négli., ! „’, |S images sensible^ ou les analogies, il démontre d’abord la possibilité, puis la réalité de la résurrection. en Se basant sur la destinée de l’homme, sur sa nature qui est la synthèse intégrante de l’âme et du corps, sur le jugement dernier et la fin dernière qui doivent sap, , 1, ’mer au composé humain. Te.tull.en. dans son Apo logeticus, signale rapidement les prinapaux arguments en faveur de la possibilité el de la nécessité de la résurrection. Apolog., ’.s. P. /.-. L i, col. 522 sq. Mais, comme Athénagore, il compose un traité spécial, per «  « r.

Mtione camis, ou il insiste sur les données scrmturaipe 8, sur « que le Christ est venu sauver 1 homme , , „„ entier, De resur., 54, P. L., t. ii, col. 848, et.1 condense tout son enseignement d^ cette propoBihon. Returget igitur caro, etqwdemomnt8, el qwdem ipso, cTqriden "intégra. De resur., 63, P. L^tn, col. 885. Anrès la résurrection, le jugement général. Dès tcibaa on do.t vivre de manière a n’être pas condamné

danacejiigementvtoéaagot « , I^ « ., l*.çol qui voit tout, patiente jusqu’au jour ou il phile Ad Autol., u. 37, col. 1116. Dans I ni 1rs bons ni les méchante ne sont traités selon l méri, eB. Aussi faudra-t-il rendre compte de sa v, , tout entière. Justin, Avol., t, 17. B, ’', . col. »

Athénagore, Leoot., 12, col. 913 C-, le Christ qui présidera à ce jugement. Justin, Jp, col 337, 749 ; Tatien, Orot., 6, 25, col. 817, 861. A ; quoi ce sera l’éternité de bonheur pour le corps comme pour lame. I’à8 « v « d « , ’' mwouffia t » ©e » , U « M * « 

, „„..vec Dieu, a l’abri de la corruption et de la sot*

tance, Justin, Apol., i, 10 ; Duxl 40, 1-121. col.341, 573 718 765 ; Tatien, Oral., 25, col. 861 ; dan » la demeure’de Dieu. Justin, Apol., i, 8, col. 337 ; dansle paradis, séjour réservé au, saints, rertull.en Apo^, 47 p L t. 1 col. 520, où Ion mènera une vie toute céleste’, à la manière des anges, malgré b présence du corps, ’Athénagore, Ugat., 31 col 964 ; ou b, en ce sera l’éternité du châtiment, dans la géhenne, Justm, Apol., .. 19. col. 357 ; dans 1, feu éternel. Jus in i 17 21. 45 ; ii, 1, 2. 8 ; Dial., 35, 15, 11/, col. 353, AI, ’597 441 444 457. 553, 573. 748 ; Athénagore. U 5 col 964 ; Théopb.le. Ad Autol., 1, 14, col. 1045 ; Tertultien parle de l’enfer éternel où le feu b. détruire. Apolog., 11, 47, 48, P. L., 1 1. col. 335,

CCtQ

J A côté de ces affirmations catégoriques sur lïternité des peines et des recompenses..1 convient d ajouter l’opinion de certains apologistes d après laquelle ces pefnes et récompenses ne prendraient date <£*$*** jugement. Saint Justin, par exemple, a cause de évocation de Samuel par la Pythonisse d Endor croit que lame des justes n’est pas encore soustraite a 1 influence def mauvais anges, Dial., 105. col. 721 ; quelle se ïouve ^ns un lieu meilleur, où elle attend le jugement Diai., 5, col. 488 ; de même les mauvais anges et les démons ne seraient pas encore en enfer. Il CTO. Ltement au règne de mille ans. tout en connue certains chrétiens, attaches du reste a la pu, Ste doctrine, ne partagent pas ces, d, es » "£ » £ » Dial., 80, col. 664. Voir Eschatologie et MILITA-RISME.

/ahn Die apotogettscher, Grundgedanken in der ^teratur aercr^endZ jJhrhunderte eystematitch dargeeteUt. Wuraîoûra OT O. Schmit.Di « ApologU der drei crsUnJahrhun-SU’lV ÙtoruS&Btematitchen DareteUung, M.yenca.

1890.

    1. VIII Valeur démonstrative des apologies##


VIII Valeur démonstrative des apologies. - L intervention des apologistes ne fut pas couronna d un uccès imtnédiat appréciable ; car après comme avant iu.fset païens, philosophes et lettres, magistrats et empereurs continuèrent leur campagne contree christianisme. Plus d’un siècle devait encore s écouler avan uë la cause chrétienne ne I En attendant

que l’avenir leur donnât raison. Us formèrent le second anneau de la tradition et relurent les Pères apostoli ux Pères du HP siècle. Mais ce qui intl : ’Uoire de lathéologie ces. qu’ils inaugurèrent le trarte de u divinité de Jésus-Christ et du chmtuuusme. Aoe 1K „ nU, ev„e surtout, leur.euvre mente une attenuon

.."tïrpour abandonner le paganisme et eml, , /foi alor que la profession de cette fo. entra.na.t les predou.alàescon.quei.ces….durent obe.r ad. m périeui motifs : motifs d’ordre négatif, tirés de 1 absurdfSrtde l’immoralité du polythéisme des contenons des erreurs, de l’impuissance OU de lasteril, philosophie, qui conduisaient soil au scepticisme en IÇière retigieu^e, soi. » cette étrange anomalie cons.sunt

  • tolérer, au nom de la politique, une reUgioni

u’n onda, n., eauno, ndubon^.s., no, , fsde, rd, e

oMt.r. tues de 1 examen extrinsèque et mtnnsèque du