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AUGUSTIN RÈGLE DE SAINT)

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a est di nné i ai i..- bni i manu, S. J.

ue m bitrit

lia initi i -en-Brisgau, 1881, ’-[

III. Cont h le va NER LA doctrine

de saint Augustin. -Basile Ponce de Léon, Celeberrimum académie Salmanticensis de tem nda ac do< ï..1 ui, t s ii, , i et Thomas Aq.judicium Btatuto juratn lemni

i <, i impugnantes propugnatum, Salam 1827 ; Douai, 1634. Serry, ouvr. cité, supplém. de l’éd Venise, 1740, p. 197-218, a inséré des extraits d’à] oli eies manu

de ce serment s.. us ce litre
De juramento que Acaà

Salmanticensie s. Augustve et S. Thon, » ’.

sionibus se addixit ; nec non de ejusden Au nom des franciscains, le P.Pierre de Urbina, plus tard é de Valence, ï ublia le Mémorial en defensa de las doctrinal del D. S. Bonaventwa ; / Escolo sobre il juramento q Universita, ! de Salamenca hizo de leer tan solamer, doctrina de S. Augustino, y s. Thomas, Madrid, 1626 Belgique, où l’académie de Louvain faisait le mêi rment

d’après Noris, I indicim august., danP. /.., i. xlvii, col. 573, deux augustins en publièrent des apologies : Ch. Moreau dans ses Observations sur Tertullien, et Jean Bivius dans la Vie du saint Augustin.

IV. CONTROVERSE SOULEVÉE PAR LES EXAGÉRATIONS JANSÉ-NISTES. — Jansénius, dans son Auguslmus, t. ii, Liber proœmialis, de rations et auctoritate in rébus theologicis, p. 1029 ; les c. x-xxx exaltent au-dessus de tout l’autorité de saint Augustin ; l’abbé Martin de Barcos, neveu de Saint-Cyran, publi l’anonymat : Qutse sic S. Augustini et doctrinal ejus ouctoritos in Ecclesia, Paris, 1650 ; l’abbé de Bourzeis, Lettre d’un abbé à n, , évêque 1 1649), soutient que le concile de Trente doit être interprété d’après saint Augustin ; encore en 1788, le janséniste joséphiste Joseph Zola publia (sous l’anonymat) : De rations et auctoritate S. Augustini in rébus theologicis. et in tra mysterio prsedestinationis et gratis}, Pavie et Brixen. 178s ià l’index, 5 février 1790). Ces théories sont réfutées dantous les ouvrages généraux centre le jansénisme. Cf. fontaine, Deschamps, Bipalda ; spécialement Pierre de Saint-Ji cien, Defensio S.Augustini Hipp.adv. Auguslinum Yprt quoad auxilia gratis ! et humanam libertatem, Paris, 1651. — Petau publia contre Bourzeis : De 1,. talione et S. Aug. doctrina dissertatio, Pai os les

Dogmata theol., Paris, 1866, t. iv, p. 659-702).

Sur la proposition avancée par le janséniste Havermans, le 8 mars Hj77 (voir sa Dissertatio theologica de a Patrum, pi sesertitn S. Augustini, Cologne, I1771. i, -., damm (30*) par Alexandre VIII le 7 décembre 1690, consulter !. d’ouvrages, indiqués pat Le Bachelel (Alexandrj VIII. cond., col. 762-763), par exemple I tins Milante et van

Etanst, le bénédictin Kurtz ; spécialement Vn.i, Damnatst thèses ad theologicam trutinam irt. III. Francfort, I7H,

p. 213-278 ; Martin Steyært, Novitas utrinqui d per decretum duplex SS. Alex. 17II. Louvain, 1691 ; le célèbn ouvrage Spécimen per Belgium manomtis

abanno itj’i) ad 1677, m-’r. Mayence, 1681 ; Mil. Monnier, 0. S. It.. i. rttres adressées à M. Dedan contri’!. A’i vote. < que saint Augustin est la i, gbgnou doit

1rs matières de la grâce, I71e.

v. Controverse norisii i ; des

querelles jansénistes, Noris, de l’ordre des augustins, publia ses Vindicia augustiniarue quibus s. dootoris scripta

lianos etsemipelagianosa recentiorum ce usa ris aêseruntiir. Padoue, b17 : i en ap] on Historia pelag

signal de n..milleluttes. Voir Augustinismi

i réfutation des Vi. < upi tioll (psi ad nj

tlieaim Gabr. Gualdo), hi-i

s. iugustini, Padoue, 1720. £ verse, cf. K. Wi

i’rnnz Saurez. Hati-liennc. 1861, t. I, p.’-'

VI. I,, . iii, , i ksi ; ap X I II" SD CLE. — A la tin du [T

l’autorité de saint Augustin fi brèche par Richard Si i Histoire critique ors principaux cou du.. r. depuis le commencement du christianisme,

nipn, ln-8 I BoEsuet, dans sa


—.4 u , i, modera avait par un i u

aion et ta i tant le

1701, |. ~2- d Ai


. : d’autres l’attribuent

ulre mi livre qui parut depuis peu 1 1 1 ure passer V Père en ouvrages

du P. Daniel, Pari-, 17’Ji. t. II. p. i t gratix doctor a calun utus adversus Jo. Launoi tractatum peculiari Clem Xi decreto nuper ii 17’.. Bientôt laissant Lanr

dans son Epislola Jo. S. J.

prxpositum data, in-12, 1705. Le P. !  :.dit par la

Lettre du P.D., j / ;.)’. Anloi ni de

s D., in-12, 1705. La coi ai, donnant

.. L’ex-oratorien I au livre de Launoy nu

elle i i aie s.jus ce titre- : /.’- ancien, le plus sûr et le plus raisonnable. 17.J2. Kn 177 ::. le dominicain J.-P. Dufour publia : L’autorité de S. Auî dans l’Église catholique établie par In li-, i, l. du tétn lent rendu à leur doctrine,

in-12, Toulouse. In autre dominicain, Gazzaniga. dans ses Prsle i A. i. De gratta, diss. V, c. I. réfute R.Simon et Launoy. Cf. M. Marcelli, O. S. A. († 1804), Insliluliones Uu

5, De auctoritate S. Augustini (imprimées seulement en 1845, Fui

VII. DERNIERS OUVRAGES.

A. Koch. Die Auctoritdt des li. Augustin in der Lehre von der Gnade und Prédestination, Quartalschrift de Tubingue, 1891, p. 95-136, 287-304, 455-487 ; étude reproduite dans Der heilige Faustus Bischc/ Stuttgart, 1895, c. y, Die Autontut des ht. Augustin, p. 129-191.

E. PoRTALIË.



2. AUGUSTIN (Règle de saint). -
I. Monachat et règle de saint Augustin.
II. Chanoines réguliers et prvmontrés.
II. Ermites de Saint-Augustin.
IV. Congrégations d’hommes.
V. Congrégations de femmes suivant la règle de saint Augustin.

I. Monachat et règle de saint Augustin.

Saint Augustin fut l’introducteur du monachisme dans l’Afrique romaine. Il l’avait vu fonctionner à Milan et à Rome. Il transforma sa maison patrimoniale de I 38) en un monastère où Alypius, Évodius et plusieurs di amis vécurent sous sa direction. Il eu fonda undeui< à Hippone après son ordination sacerdotale (S’.'l. Lorsque les habitants de cette ville l’eurent choisi pour évêque, il lit de sa demeure épiscopale un monastère ou tout le clergé mena avec le pontife une véritable vie religieuse. Voir col. 2275, 2-J7t">. L’exemple d’Augustin fut contagieux, lies monasti res furent fondés dans plusieurs diocèses. Les disciples du saint évêque d’Hippone. api ouvernement des Églises, imposèrent à leur clei avec la vie commune, les obligations de la vie m i tique. On peut citer Alypius, évêque de Tagaste, Proluturus, de t’.tria. Severus, de Milève, Évodius, d’Uoia. Le monastère d’Hadrumète est célèbre dans l’hisl des controverses sur la grâce. C’est pour ses habit qu’Augustin écrivit son traité De correptione et gratta. lus vierges et des veuves s’étaient déjà réunies pour suivre ensemble les exercices de la vie religieuse) loi s, pie saint Augustin fonda le monastère d< , -i.n influence contribua beaucoup à augmenter leur nombre. Il > avait à Hippone une de ces communautés de femmes, que gouvernait sa propre sœur. Elles étaient de Sa part l’objel d’une constante sollicitude. ( pour elles qu’il écrivit, en 123, s.i fameuse letti dérée depuis lors comme une règle. Epis t., ccxxi, /’. /… t. xwiii, col. lK30-<Jf3ô. Sou intention n’était pas de i