Page:Alfred Vacant - Dictionnaire de théologie catholique, 1908, Tome 1.2.djvu/222

Cette page n’a pas encore été corrigée
1939
4910
ARMÉNIE. LIT ! ÊR ï i RE


pire de Mahomet et ! '"'

Garabed Chahnazarian, In 8 ll " 1 '

par lui en français bous le litre de Histoire dei et ' '

1856 ; K. Patcanian en a d ' une li idui tion i us »

tri de Histoire de » khalifes, in *, Saint-Pi boui A la même époque, I évéquede Siounik,

Etienne, li iduisil les œuvres de plusieurs Pères, pseudoi, , opagite, Grégoire de Nysse, Cyrille d Uexan, i, i, . etc., ainsi que la lettre du patriarche Germain aux Arméniens. Voir Quadro dette opère anticamenle traduite m arnieno, p. -.J'.i-ICJ.

Li siècle voit naître la grande Histoire d’Arnu de l’origine à 925, du catholicos Jean VI, éditée à Jérusalem, i ii- *, 1853, ci à Moscou, in-8°, 1853, et traduite en français par J. Saint-Martin, in-8°, Paris, 1844, mais il une façon très imparfaite. Voir F. Nève, L’Arménie tienne et sa littérature, p. 317-340. A la même époque, Thomas Artzrouni compose son Histoire des Artzrounis, allanl jusqu’en 936 ; la première partie contient l’histoire générale de l’Arménie, la seconde celle de la province du Vaspourakan. Publiée à Constantinople, 1852, et à Saint-Pétersbourg, 1887, elle se trouve en français dans Brosset, Collection d’historiens arméniens, in-8°, Saint-Pétersbourg, 1874, t. t, p. 1-266. A la demande du catholicos Ananias de Mok (943-965), Ananias, abbé du monastère de Narek, le plus célèbre théologien de l'époque, compose un traité contre les thondrakiens. Ter-Mkrttschian, Die Paulikianer, p. 83. Jusqu’ici, cet ouvrage n’a pas été retrouvé, quoi qu’en ait dit Neumann, Geschichle derarm. Litteratur, in-16, Leipzig, 1836, p. 127. C’est à tort que le journal Ararat (Etchmiadzin, 1892, n. de janvier) a attribué à ce théologii a t les Confessions du bienheureux père Ananias « publiées par lui. Mkrttschian, op. cit., p. S Chosrov le Grand, évéque d’Andzevatsente, mort vers l’an 972, écrit de très intéressants Commentaires du bréviaire et îles prit res de la messe, Constantinople, 1730 ; l’explication de la messe a été traduite en latin par P. Vetter, Chosrom magni, episcopi monophysitû plicatioprecum misses, in-8°, Fribourg-en-Brisgau, 1880.

— Mesrop le Prêtre (Iéretz) compose la biographie de Nersès le Grand. Madras, 1779 ; elle forme, avec l’histoire des Orbélians, les tomes vi et mi de la Bibliothèque choisie de la littérature arménienne, in-24, Venise, 1853.

— Aucun auteur de ce siècle n'égale en célébrité Grégoire de Narek, fils de Chosrov le Grand, le « Pindare i des Arméniens. On a de lui quatre-vingt-quinze Élégies sacrées, plusieurs lois imprimées, entre autres en 1827 par G. Avédikian, in-8°, Venise ; des Homélies et des Odes, in-S ibid., 1827 ; un Commentaire sur le Cantique drs cantiques, in-12, Venise. 1789, el divers Panégyriques ; il existe une édition complète de ses œuvres, in-8-, Venise. 1840 ; sa lettre dogmatique contre les thondrakiensa été traduite par Ter-Mkrttschian, Die Paulikianer, p. 130435. Voir une notice littéraire et bibliographique dans F, Nève, r>p. cit., |). 256-268. Citons encore :  !. Oukhtanès d’Ourha, auteur d’une Histoire d’Arménie, in-8°, Vagharchapaꝟ. 1874, (incomplète), et, en français, dans Brosset, Deux historiens arméniens, Kirakos de Ganttac, Oukhtanès d’Ourha, in-4°, SaintPétersbourg, 1870 ; 2. Moïse Kaghankatovatzi ou d’Outi, auteur d une intéressante Histoire des Aghovans ou Albanais, le seul document que nous possédions sur les premierstemps de ce peuple ; publiée par Emin, in-8. Moscou, 1860, il Chahnazarian, Paris, 1860 ; quelques extraite dans Brosset, Additions et et laircistementsàl’his de in orgie, in-4°, Saint-Pétersbourg, 1854, p 1611'.ii : excellente étude et extraits dans Agop Manandian, / trâgezuralbanischen Geschichte, in-8°, Leipzig, 1897. Moins illustre pie le V, le xie siècle a pourtant produit trois ou quatre écrivains recommandables : Estienn ghik, auteur d une Jlisiuiiv universelle, qui s’arrête é l an


i irtii -i éti ti aduile en fi am ais p ir E. 1 1 mi. i

!, |uête di i in*

-. Venise, 1845 d E. l’rud

Paris, 1864 ; le moine Paul d siste et adversaire passionné ill’Eglise romaine ;

.niie le théolo Btanlinople. in-4°, 1752 ; cf. I. Die Paulikianer, in-8°, Leipzig, 1893, p

un grand

sur di el >l un poéi n m

dit-on, n trois joui

. in-16, lisfiH : tin invi ntaire détaillé et des extraits de trouvent dans V. Langlois, Mémoire sur la écrits du p

l série, t. xiii, 1869. p. i sq. I <Uee tùm dt "- t. i, p. i"l-'>' ! G. Chai. mtiantz. /

mente iranischi Wiener

hrifl f. d. Kunde d.M Trois lettres deGrégoire relativi kiens, issuedu manichéisme, ont été traduites en allei par Ter-Mkrttschian, Die Paulikianer, p. 136-153 ; cf.

  • q.

VI. 1m xil « t xviir SIÈCLE. — La prospérité au xiisiècle du royaume de Petite-Arménie, -ous i roupéniens, provoque dans le domaine d une

s, , rt.- de renaissance, qui ne manque pas de grandeur. Le plus brillant écrivain de ce temps, S | Ni n, , mm.' ajuste titre Chnorhali ou le Gracieux, qui j

l'Église comme catholicos de 1166 à H 73 ; on lui un poème de huit mille vers, uni d'Édesse et des poésies sur divers sujets, imprimi Venise, in-24, 1830 ; plusii m traduites en français, par F. Nève, op. cit.. ; en allemand par P. Vetter. Tûb. theol. QuarlaUchrift, t. i.xxxi 1899), p. 89-111 ; l'élégie biblique « Jésus le Fils i a été traduite également par P. Veti t. i.xxx 1898. p. -j :  ;.t -2Tt ;  ; IV l 'gie sur la chute d'Édi été rééditée et traduite en français pai E. Dulau Historiens arméniem di t. i. p. 226-268. Beaucoup plus importantes pour le théologien sont les œuvres en prose d< Iles comprennent une Lettre pastorale publiée, avec traduction lutine, par.1. Cappelletti, in-8°, Venise. 1830, un Discours synodal et des lettres, in-24, Venise, 1848 Li plupart de ces œuvres se retrouvent, accon : une traduction latine, dans Sancti pera omnia, i dit. J. Cappelletti, 2

F. Nève, Le patriarche Nersès IV Schnorhali, op. cit., p. 269-286. Rappelons comme curi tra duite en trente-six langues, in-12, Venise. 1882. -Deux vartapets, Lune et Sarkis, nous ont laissé, le premier, un Commentaire sur saint Lue. in-8°, Constantinople, Ijs-ii ; le second, quarante-trois Homélies, in-8°. Const.mtinople.ITi :  !. et un Commentaire sur les épi ! liques, ibid., 1743, ISJC>. — L’Histoire, de Matthieu d 6desse, allant de952à 1 1 : t « î. et continuée jusqu’en 117'

mire le Prêtre, constitue une source précieuse pour l’histoire des croisades ; traduction françaised’E. Dulaurier, in-8. Paris, 1858. Les parties relatives aux crois s, .nt reproduites, texte et traduction, par le même, dans Historiens arminiens dis croisades, t. I, p. I -01. Cf.

F. Nève, Chronique de Matthieu d'Édesse, op. cit., p 341-370.— De Samuel d’Ani.nous avons une Chronique ersettt ou plutôt de simples tables chronologiques allant de l’origine du monde a 1179 ; le texte a été publié par v IVr-Mikeli.in. in-8°, Vagharchapat, 1893, la ti-iduction latine, par J. Zohrab et A. Mai, Milan, 1818, reproduite par M igné, /'. t… I. xix. col. 598 deuxième partie a été traduite en françaisavec nombreuses par Brosset, dans sa Collection d’hisloi