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LES RUINES DE PARIS
FRAGMENTS D’UN VOLUME
PROVENANT
DU MUSÉUM D’HISTOIRE NATURELLE[1]
J’aime la campagne, moins encore pour l’air qu’on y respire, l’isolement qu’elle permet et le silence qui y règne, que parce qu’on y est entouré d’une foule d’animaux qui, eux aussi, fuient l’homme et les villes. Je les chéris tous, depuis les plus grands jusqu’aux plus petits, depuis les plus beaux jusqu’aux
- ↑ L’examen des caractères employés pour l’impression de ce volume permet, paraît-il, de le regarder comme une des premières productions de la typographie parisienne.