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LES RUINES DE PARIS

réduit en miettes, s’envolât et fût à jamais anéanti.

Près de là, grâce au ciel, un autre fragment, semblant provenir du même volume, permit de déchiffrer encore quelques lignes, les dernières sans doute que nous livreront ces catacombes intellectuelles, si j’ose m’exprimer ainsi :

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Dés le premier âge du monde, au temps où l’ensemble des connaissances humaines eût pu tenir en trente pages, il y avait à Saba, à Tyr, à Argos, à Ur, à Sidon des savants qui se croyaient bien supérieurs aux autres hommes. Ils avaient l’air grave, ils étaient pénétrés

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