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EPITRE.
tant d’établissemens glorieux à Votre Ministère, qui laisseront à Vos successeurs l’honneur de les faire fleurir ! Puissiez-Vous goûter en paix dans votre retraite la consolation que procure la vie privée, de ne point voir de trop près les malheurs des hommes ! Tels sont, Monseigneur, les vœux d’un Citoyen à qui Votre prospérité sera toujours chere, & qui se trouve pour la premiere fois à plaindre de la médiocrité de son état, par le désir qu’il auroit de donner plus d’éclat à son hommage. Je suis avec un profond respect,
MONSEIGNEUR,
Votre très-humble & très-obéissant Serviteur D’ALEMBERT.