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asâ LA FRANCE ET ROME DE 170Û A iTlS

t< n’ignore pas Tentier dévouement qu’il a pour les

  • jésuites. Elle sait saoa dcmte «ju’avee cela son

< caractère est d’êlre fort kUu, si opiniâtre dans les a seiitLinenls qu’il a pria que loua les tiommcâ du « monde ne pourraient le faire changer^ et un esprit « violent qui s’abaudonnc aisément à uq zèle in^ « diacrel *, »

Cea deux lettres. Tune avant, l’autre après la visite do la Trémoilio aa Vatican, nous nielteot cq plein jour les ince.^aantes variationa de la politique romaine, mobile et bizarre comme un kaléidoscope, On suppose d*abord que les difficultés seront nombreuses, que le pape aura une peine infinie à se résoudre, — et le voilà, tout au rebours, qui reçoit la demande avec plaisir et s’engagea se conformer aux usaj<es de France. Bien pluSj il accepte, il promet Je qualifier quelques-unes dea propositions du livre, il trouve la chose toute simple et tout aisée ; or, ce sera là» durant dus mois, la pierre d’achoppement de labuUo, Ainsi vont tes négociations en courde Ko me. liien n’est plus dangereux ? pluîï oblique, plus éternel et plus truhiant que la diplomatie en soutane.

Toutefois, lo gouvernement frantjais avait multi-

i. Aff. ùtr. Rome, suppïejïient Xî : Pliîloiiiild ou i^artiinal de Noâil-Il’B, lu a+’CoaihiL* iTJK — C/ JeUre ilii ÏK Husli’L cïu f^ décembre : Il La quiUi tien lion va jeter le iiu^^e diiti$ un y^iand o m barra J. Ayejt sijin* s’il vous plaU. riiunseigueur,dp porler iù cour et k-s ztiagjstraïà A tenir ferme sur celto deuiim^le et a ne s’en point roîdcliep- Car on jîtïgnera parJii tool Je temps que vulrc ? E^ujiDenee pimt dé’iîrâï", ^t p(. ni- Être n’u^cra-t-oo cutre prendre rrlle ouoJilkfllion, ce qui morlî-I i i^ra bi ’0 u r ou p ie s j rs u,i l es q u i p u bl i e n t tfep ui s f j u i n Ke j ou rs qu^il î’ iinra bien lût uuc couàLiLution qui justilitTa la conduite dfs evi^qu^ï et i/i leur. J’ai pris dus mesuras avec Je carfïinal fie la Tn^ moi Ile f^mr tunpùeber cjue votre noui ne soil fourri^daos la toostituUon, eu *^^} qu’ullt’ se ta.iijo. « — Ktje ï6 décembre, il ajouli’ ; m CetieaJîaiiv dait iiQliireliement occuper un grand lenipis. éttint oriiume celles ’ !«"» >’elon la mn^ime crici. ne Innsseut jamaiâ tuicux quo quand elles ne nnjÂSCnt point. •> [WM. uitt. ma. 2^±il.)