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Quelques minutes plus tard les deux dames quittèrent enfin l’église.

Les aventuriers, flattés de voir un pareil homme à leur tête, ne lui avaient opposé qu’une assez molle résistance, convaincus de l’avantage qu’ils retireraient d’une direction ferme et intelligente.

Ce résultat obtenu, M. d’Ogeron était parti pour la France ; et bien qu’à cette époque on se trouvât en pleine Fronde, et que l’autorité royale, attaquée de toutes parts, fût dans une situation précaire, il se rendit à Bouillon, où