Page:Aimard - Les Bohèmes de la mer, 1891.djvu/107

Cette page a été validée par deux contributeurs.



Il le conduisit dans une autre pièce dont il referma lui-même la porte.

Le marquis, à peu près rassuré, n’avait plus songé dès lors qu’à s’occuper de ses préparatifs de départ pour Santo-Domingo, où il avait hâte d’arriver, afin d’échapper à la fatigante sujétion que lui imposait son père, et d’être à même, si besoin était, de venir en aide à son cousin.

Malheureusement, à cette époque on ne voyageait pas aussi facilement qu’à la nôtre, les moyens de transport étaient fort rares ; de plus, comme les