Page:Aimard - Le forestier.djvu/58

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
53
Le Forestier

Silence, mon cousin, je n’ai pas terminé encore.


— Et moi aussi ! s’écrièrent deux jeunes gens presque ensemble.

— Très bien, marquis d’Alvimar : vous ensuite, n’est-ce pas, comte de Sierra Blanca ? Soit, caballeros, je vous ferai face à tous les quatre l’un après l’autre, à votre choix, ou plutôt à tous ensemble, ce qui, je crois, vous conviendra mieux.

Les jeunes seigneurs poussèrent un cri de rage à cette nouvelle insulte, plus sanglante encore que les précédentes.