Page:Aimard - Le Grand Chef des Aucas, 1889.djvu/467

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

trarient pas nos projets ; peut-être don Tadeo ne reconnaîtra-t-il pas mon frère. Afin d’éviter un malentendu, le chef glissera ce collier dans les mains de la jeune femme pâle : il l’avertit de notre présence.


Doña Rosario gisait évanouie dans un hamac, au milieu d’un épais fourré.

— Cela sera fait, la jeune vierge aux yeux d’azur aura le collier, répondit le chef avec un doux sourire.

— Maintenant, dit Curumilla, prenons la piste si nous ne voulons pas être exposés à la perdre une seconde fois.