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du ciel, la seule consolation qui, dans son immense malheur, restât à la pauvre mère délaissée. Une nuit, pendant qu’elle était plongée dans le sommeil, son mari s’introduisit comme un voleur dans sa demeure, s’empara de l’enfant malgré les cris de la mère désolée qui se traînait en larmes à ses pieds en l’implorant par ce qu’il y a de plus sacré au monde, et, après avoir durement