Page:Aimard, Auriac - Les Forestiers du Michigan.djvu/211

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
207
les forestiers du michigan



rire, pendant que Veghte s’éloignait la tête dans ses mains.

Hélas ! amitiés, sourires, pensées d’amour, souvenirs, espérances, tout allait disparaître dans le sang et l’incendie.

Le sommeil ne visita pas les habitants du fort pendant cette nuit à la fois trop longue et trop courte ; chacun veilla, se préparant à une mort héroïque.