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les forestiers du michigan

– Oui. Allez vite ! fut-il répondu.

La voix était celle d’un étranger, et Basil s’en aperçut fort bien : mais il n’était plus temps de reculer ; le mieux était de feindre :

— Adieu ! tout va bien ! répliqua-t-il en ramant et disparaissant dans l’ombre. — Qui, diable ! peut être ce gros géant… ? se demanda-t-il en cheminant ; je n’ai jamais entendu cette voix ; il n’y a, au fort, personne qui ressemble à ce gaillard là.