Page:Aimard, Auriac - L’Aigle-Noir des Dacotahs.djvu/109

Cette page a été validée par deux contributeurs.

108
les drames du nouveau-monde

L’ancien ne put achever sa phrase ; son cheval trébucha lourdement sur une roche glissante ; tous deux, le cavalier et le coursier, roulèrent sur la pente escarpée, et, de pointe en pointe, tombèrent déchirés dans le fond d’un gouffre.