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CHAPITRE IV

croquis, bouleversements, aventures


Dans la maison du Settler, personne, excepté Halleck, n’avait aperçu la lueur nocturne de l’incendie. Il se garda bien d’en parler, estimant judicieusement que cette nouvelle ne servirait qu’à fournir un thème inépuisable aux propos désobligeants sur les pauvres sauvages ; il s’assura donc un secret triomphe en gardant le silence.

La matinée suivante fut admirable tiède, transparente ; une de ces splendides journées où il fait bon vivre !

Halleck décida qu’il passerait sa matinée à croquer les paysages environnants, et il invita Maria et Maggie à lui servir de guides dans son