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MAURIN DES MAURES

qu’il est un peu mon parent, étant mon beau-frère, et qu’en remerciement de votre zèle pour lui vous trouverez toujours à la préfecture un préfet tout prêt à vous rendre justice en toute occasion.

— Comme ça, ça va, dit Maurin.

Et il ajouta :

— Je la connais, votre préfecture ; c’est peut-être la meilleure de France, vu qu’il y a des bécasses dans le jardin tout l’hiver. On peut les tuer sans sortir du château.

— Eh bien, à table, Maurin !… Allez chercher votre ami Pastouré.