Page:Aicard - Les Jeunes Croyances, 1867.djvu/81

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



IV

À UNE ARLÉSIENNE.




J’avais de plus d’une fillette
Au charmant costume arlésien,
Provoqué l’œillade coquette,
Cherchant ce que chacun souhaite :
Le grand mal qui fait tant de bien !