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(24) Même observation que ci-dessus.

(25) Le mot Foy ne fait-il pas encore ici un jeu de mots ?

(26) Cette ballade ne peut concerner Macbault.

(27) À la fin de chaque couplet, on reprenait en chantant le commencement du premier, en guise de refrain.

(28) Cette jolie chanson fut sans doute écrite à l’occasion des méchancetés qu’inspirèrent aux gens de cour les rapports d’Agnès et de Guillaume ; elle est la réponse à toutes les suppositions que peut faire naître la légèreté de la jeune princesse. Il nous montre son caractère coquet, joyeux, aimable, mais sans faiblesse honteuse.

(29) Cette chanson est une des premières inspirations qu’Agnès dut à son désir d’être aimée du poète ; elle explique nettement l’origine de leur liaison ; c’est sur sa bonne réputation qu’elle s’est prise d’amitié pour lui. Cette pièce est certainement un des essais d’Agnès.

(30) Cette chanson n’est qu’un jeu d’esprit ; elle ne concerne ni Phéhus ni Macbault.

(31) Cet envoi prouve que cette chanson est faite pour un concours. Est-elle d’Agnès ?

(32) Cette chanson ne peut concerner Macbault ; Agnès ne mit pas tant de mystère dans ses rapports avec lui. Eut-elle un autre ami ? Cette chanson n’est-elle encore qu’une œuvre sans destination individuelle, galante, mais sans amour ?

(33) Cette pièce nous semble l’œuvre d’Agnès ; on y voit cette facilité de sentiment et de style qui distingue ses vers.

(34) Voici la troisième fois que cette locution se présente : il y a évidemment intention. Agnès aura fait ces vers pour son fiancé, son époux, pour le comte de Foix.

(35) Encore la même locution.

(36) Le dieu médecin.

(37) De l’autre paradis.