Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/215

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Le pauvre Jean s’y couche,
Demeurez là, mettez le pied là,
Et se mit à pleurer,
Bell’, mettez là le pied !

— Tandis qu’je serai jeune,
Demeurez là, mettez le pied là,
Je m’y divertirai,
Bell’, mettez là le pied !

Et quand je serai vieille,
Demeurez là, mettez le pied là,
Je me retirerai,
Bell’, mettez là le pied !

Dans un vieux presbytère,
Demeurez là, mettez le pied là,
Avec un bon curé,
Bell’, mettez là le pied !

Qu’a du vin dans sa cave,
Demeurez là, mettez le pied là,
Du lard, dans son charnier.
Bell’, mettez là le pied !