Sur le vert joli, m’y reconduit au lit (bis),
Sur le vert joli, il cassera ma table (bis),
Sur le vert joli, les quenouill’s de mon lit (bis).
Sur le vert joli, il frappe sur la berne[1] (bis),
Sur le vert joli, au proch’ de moi aussi (bis).
Sur le vert joli, voilà comm’ sont les hommes,
Sur le vert joli, voilà comme est……
On désigne, pour faire rire, celui des invités qui n’a pas la réputation d’être tendre avec sa femme, ou bien encore un jaloux ou un ivrogne.
Les servants et servantes pris parmi les parents et amis des mariés vont, lorsqu’ils aperçoivent la noce qui revient de la messe, au-devant d’elle à deux ou trois champs avec un pot de cidre et des verres pour offrir à boire aux mariés et aux invités. On boit dans le même verre sans répugnance.
Une fois arrivés au village, les noçous, avant le repas, dansent une ou deux contredanses.
C’est seulement vers trois heures de l’après-midi, qu’on se met à table. Ce festin dure
- ↑ Couverture de lit.